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Association pour la Recherche et l’Information
en Astrologie Naturelle

Quelques recherches sur l’influence astrologique

Ces textes compilés par Jean-Yves Hervouët. Cette compilation ne prétend pas constituer un florilège de “preuves” de l’astrologie, mais présente des pistes de recherches dont certaines sont intéressantes.

Les travaux de Takata

En 1938, le Dr Maki Takata de l’université de Toho au Japon entreprit une étude biochimique sur le cycle ovarien de la femme. On venait tout juste de découvrir les “hormones”, ces agents chimiques de transmission. Leur très importante influence sur la personnalité et le développement physique n’étaient pas encore compris.

Pour mener à bien son programme de recherche, Takata avait besoin d’enlever l’albumine du sang car cette substance générait des interférences. La méthode de Takata, maintenant nommée la réaction Takata consiste à ajouter au sang des composants qui faisaient précipiter ou se transformer en flocons l’albumine du sang afin de l’éliminer ensuite par centrifugation.

Jusqu’à cette période les scientifiques considéraient comme une loi parfaitement établie que, si une série de réactions chimiques identiques étaient réalisées dans les mêmes conditions (température, luminosité, humidité etc.), chaque réaction serait Identique quelques soient sa localisation géographiques et le moment ou elle se produit. Takana découvrit que cette loi ne semblait pas s’appliquer à sa réaction de “floculisation” de l’albumine. Parfois elle intervenait plus rapidement parfois plus lentement. Il entreprit de découvrir pourquoi il en était ainsi, et ceci après avoir attentivement vérifié auprès d’autres scientifiques dans le monde qu’ils avaient également constaté des phénomènes semblables.

Takata pensait que cette variation dans le taux de précipitation de l’albumine du sang ne se produisait pas chez les membres du sexe masculin. Mais en janvier 1938 il observa également ce phénomène chez ces personnes. Takata avait la ferme intention de découvrir la cause de cette variation cyclique dans le mécanisme de précipitation. Après avoir en vain examiné toutes les explications plausibles il fut conduit à se pencher sur les causes improbables. Il s’avéra que le taux des réactions variait avec l’heure, le jour de l’année, le cycle ce 11 ans des taches solaires, les éclipses et les orages magnétiques dans l’ionosphère. Hérésie ! Il était clair que des influences célestes exerçaient une influence importante sur les protéines du sang. Takata savait que les protéines sont les seules substances chimiques capables de “vie” et la il avait démontré dans ses tubes a essais que des influences célestes affectaient le comportement chimique d’une de ces protéines. Serait-il possible qu’il en fût de même pour d’autres ?

Les protéines appartiennent à un groupe de substances nommées colloïdes par les chimistes. En 1951 à l’université de Florence En Italie le Dr Giorgio Piccardi s’intéressa au expériences de Takata et décida de les reproduire mais en utilisant cette fois ci un colloïde non biologique : l’oxychloral de bismuth que l’on obtient en dissolvant du trichloréthylène de bismuth dans de l’eau. Hérésie pour hérésie — Piccardi découvrit que la vitesses de réaction de son oxychloral de bismuth variait aussi en fonction de conditions célestes ! Les taches solaires inhabituelles, les éclipses et les orages magnétiques agissait sur la réaction en la freinant tandis que des périodes de moindre activité cosmique l’accélérait. En Allemagne en 1954, Caroli et Pichotka reprirent les travaux de Takata et Piccardi et démontrèrent également que le taux de réaction variait en fonction du temps et des conditions célestes. Ils avaient la quasi certitude que décidément quelque chose dans le ciel agissait sur les évènements terrestres. Ils pouvaient le voir de leurs propres yeux et les mesurer avec leur chronomètres.

Piccardi fit aussi une découverte fascinante quand un technicien chauffagiste s’eût plaint à lui que deux fois par an de la rouille se détachait des chaudières des machines à laver et en contaminait l’eau. Impossible d’éviter ce phénomène. Piccardi fit l’hypothèse que la tension de surface de l’eau des chaudières devait être diminuée pour une raison inexpliquée. Mais pourquoi ? Il nota que ce phénomène se produisait toujours en septembre et en mars (pour l’astrologue : quand le soleil transite les signes de la Vierge et des Poissons) Quand la tension de surface de l’eau diminue, celle ci devient plus “mouillée”. Les agents adoucissants ajoutés à l’eau de lavage en réduise la tension de surface et accroissent son pouvoir lavant. Dans le cas présent cette eau dissolvait aussi la rouille.

Les expériences de Schwenk tendent à accréditer l’idée qu’il est préférable de s’agiter quand les conditions cosmiques sont favorables et de rester tranquille quand elles sont contraires. C’est pourquoi il faut garder le lit quand on est malade.

Horloges biologiques

Le Dr Frank Brown de l’université de Northwestern a fait un travail fascinant sur les mécanismes qui semblent être communs à tous les êtres vivants et qu’il a nommé les horloges biologiques. Ceci se rapporte à la capacité des organismes vivants à détecter des variations dans le champ magnétique terrestre 10 millions de fois inférieures aux champs créés par les appareils électriques d’une maison. Ces changements dans le champ magnétique terrestre sont prévisibles grâce aux positions du Soleil, de la Lune et des planètes. Brown découvrit, par exemple, que les huîtres conservent un cycle d’ouverture/fermeture qui s’accorde au rythme des marées de l’endroit d’ou elles sont issu même si elles sont transportées à des milliers de km dans les terres.

Il est assez facile de tester chez soi le mécanisme des horloges biologiques. À l’automne il suffit de placer quelques bulbes de fleurs dans un endroit sans lumière d’une cave et de les y laisser jusqu’au printemps suivant. Si vous allez régulièrement les voir, vous vous apercevrez qu’ils ne germeront pas pendant les mois d’hiver. Mais quand la période de floraison normale arrivera au printemps, ils germeront même ainsi stockées.

Quand les bulbes sont entreposées les tissu ne meurent pas, ils “respirent”. le Dr Brown mesura précisément leur consommation d’oxygène dans de telles conditions. Ses expériences montrèrent qu’à l’approche du printemps, le taux de respiration s’accroît : ils utilisent plus d’oxygène. Le seul signal que ces bulbes le puissent recevoir provient du champ magnéto-cosmique entourant la terre.

Si vous voulez en savoir plus sur les horloges biologiques, lisez le livre The Living Clocks (Les Horloges Vivantes) de Ritchie R. Ward, publié par Alfred A. Knopf, New York. Vous y trouverez un fascinant compte rendu de ces expériences.

Transmissions radio

La preuve peut-être la plus forte en faveur de l’astrologie, notamment les effets des aspects, nous vient d’un autre non-astrologue John H. Nelson de la RCA. Dans les débuts des liaisons radio à longues distances (ondes courtes) on avait observé que les conditions de l’ionosphère avaient des effets importants sur la qualité des transmissions ondes courtes. Il était important pour RCA de prévoir à l’avance ces conditions défavorables afin d’y remédier. Il lancèrent un appel d’offre doté d’un prix de plusieurs millions de dollars auprès de quelques astronomes qui dépensèrent l’argent mais sans grand résultats. RCA fit alors appel a ses propres ingénieurs dirigés par John Nelson qui découvrit qu’il pouvait prédire assez précisément les conditions des transmissions en regardant les relations angulaires entre les planètes pour un jour donné ou, en d’autres mots, les aspects angulaires.

Selon plusieurs publications annuelles du département américain du commerce, ses prévisions s’avérèrent exactes dans plus 95 % des cas. Nelson a décrit ses travaux dans le livre, Cosmic patterns — Their Influence on Man and His Communication (Configurations cosmiques — leurs influences sur l’homme et ses communications) publié par la Fédération américaine des astrologues.

Vers la même époque les laboratoires Bell se sont également intéressés au phénomène car les réseaux téléphoniques utilisent de très sensibles micro-ondes transmises de proche en proche sur de courtes distances. Les conditions atmosphériques perturbent ces transmissions. Les laboratoires Bell soumirent le problème au Dr Karl Jansky qui a développé le récepteur électronique que l’on nome l’antenne parabolique avec lequel il fût capable de découvrir des émissions radio dans des endroits du ciel ou l’on ne distingue pas d’étoiles, même avec les plus puissants télescopes.

Les travaux de Jansky furent à l’origine de la radioastronomie qui permet de localiser des étoiles qui émettent des ondes radio et on pas de la lumière. Jansky devint ainsi le père de la radio astronomie

Et son invention, l’antenne parabolique, fût à l’origine du radar.

L’erreur sur la masse (ou : la grosse erreur…)

D’après David Pratt, “Gravité et Anti-gravité”, février 2001.

On dit, qu’en 1665, Isaac Newton voyant une pomme tomber d’un arbre, eût l’idée que la force qui attire la pomme sur la Terre est la même que celle qui maintient la lune en orbite autour de celle ci. La Lune ne tombe pas sur la Terre à cause de l’effet compensatoire de sa rotation. Si la Lune devait s’arrêter, elle tomberait sur la Terre avec une accélération de 9,8 m.s−2, la même que celle imprimée à la pomme ou à tout objet qui tombe sur Terre.

La loi de gravitation universelle de Newton affirme que la force de gravitation entre deux corps est proportionnelle au produit de leurs masses et inversement proportionnelle au carré de leur distance. Pour calculer cette force de gravitation F, on multiplie les deux masses m1 et m2 ainsi que la constante de gravitation G et on divise le tout par le carré de la distance r entre les deux masses. F = G × m1 × m2/r2. Aujourd’hui la théorie de Newton est acceptée sans question par la quasi totalité des scientifiques.

Cependant il s’en dégage une contradiction. D’un côté on dit que la force de gravitation entre deux ou plusieurs corps est dépendante de leurs masses et d’un autre on admet que l’accélération de gravité d’un corps attiré n’est pas dépendante de sa masse : si l’on lâche simultanément d’une tour, une balle de tennis et un boulet de canon les deux objets arriveront au sol simultanément (en négligeant la résistance de l’air). En outre bien que la force de gravité et l’accélération de gravité procèdent du même phénomène et bien que la force soit proportionnelle à l’accélération, dans la formule il n’apparaît pas le symbole (g) de la gravité à la surface terrestre ou bien un terme pour l’accélération.

Selon la 2e loi de le mécanique Newtonienne la force appliquée à un corps est égale à la masse de ce corps multiplié par son accélération (F = m × a). Cependant, comme l’ont fait remarquer plusieurs physiciens et philosophes, il ne s’agit pas d’une loi expérimentale, mais d’une définition arbitraire — une convention. Les expériences dont il s’agit ici impliquent l’identité entre le poids et la force ; elles prouvent simplement que le poids d’un corps est égal à sa masse multipliés par l’accélération (P = m × a) et ne mesure pas une force en soi [1].

Newton lui même croyait que la force de gravitation était due à la quantité ou densité de matière et proportionnelle à celle ci. Mais c’est un fait historique que pour déduire du système terre Lune que la gravité obéit à une loi en 1/r2 (c’est à dire que la force diminue avec le carré de la distance au corps attracteur) point ne lui était besoin de disposer ou d’estimer les masses de la terre et de la Lune. Il lui suffisait de connaître l’accélération de la gravité à la surface de la terre. Pari Spolter fait remarquer qu’il n’y a pas de raison fondamentale pour introduire le terme “produit de deux masses” voire d’introduire un terme pour la masse dans l’équation de la force gravitationnelle [2].

La combinaison des deux équations de Newton, ie celle de la gravitation et celle de la 2e loi de la dynamique des corps en mouvement donne : F = m × a = G × m1 × m2/r2. Or, pour que ces deux équations s’équilibrent G devrait avoir la dimension de m3/kg.s2 (un volume divisé par une masse multipliée par un temps au carré). Il est clair que G est une constante bien étrange.

La valeur de G a été initialement été mesurée en 1788 par l’expérience du pendule de torsion de Cavendish. Cependant une expérience de type Cavendish ne constitue pas une preuve de l’équation de Newton : au contraire de telles expérience présupposent que l’équation est correcte. Selon Spolter rien ne permet d’exclure que le très petit angle de réflexion (ou le très petit changement dans la période d’oscillation) dans la balance de torsion utilisée dans cette expérience ne soit pas dû à l’attraction électrostatique des sphères métalliques utilisées. Dans une expérience dans laquelle des petites masses de platine avaient été enrobées d’une fine couche de laque, on a obtenu des valeurs significativement plus faibles pour G [3]. Pour tester plus avant cette possibilité, Spolter a proposé des expériences complémentaires à de célèbres journaux scientifiques, mais elles ont été refusées.

Dans l’hypothèse ou la gravité est proportionnelle à la masse, on peut utiliser la valeur de G pour estimer la masse de la terre et sa densité moyenne. Cette dernière est d’environ 5,5 g/cm3, valeur purement théorique, bien sûr. Tout ce que l’on sait actuellement à l’aide de mesures est que la densité moyenne de la croûte terrestre périphérique est de 2,75 g/cm3. Les scientifiques en ont conclu que pour obtenir cette moyenne de 5,5, la densité des couches internes de la terre devraient s’accroître substantiellement avec la profondeur. Spolter fait remarquer que ce modèle couramment accepté est inconsistant avec la loi de sédimentation dans une centrifugeuse. La Terre tourne depuis des milliards d’années. Si, à l’origine, elle était en fusion et tournait plus vite qu’actuellement les composantes de forte densité devraient se trouver dans les couches superficielles. D’autre part les éléments lourds sont rares dans l’univers, il est donc difficilement concevable d’en trouver de telles quantités concentrées dans les profondeurs terrestres.

Johannes Kepler, célèbre astronome du XVIIe siècle, a découvert le fait remarquable que le rapport du cube de la distance moyenne (r) d’une planète au soleil et du carré de sa période de révolution est une constante (r3/t2=constante). Cette relation est connue sous le nom de 3e loi de Kepler. Pari Spolter a, lui, découvert que l’on peut dériver cette troisième loi de Kepler d’une simple et nouvelle équation pour la force gravitationnelle : F = a × A, où a est l’accélération et A la surface du cercle de rayon r égal au demi grand axe de la planète ou de la lune, etc. Comme A = π × r2, cette équation implique naturellement que l’accélération due à la gravité décline en fonction du carré de la distance. Et comme elle ne comporte pas de terme pour la masse ceci implique que ni la force gravitationnelle ni l’accélération ne dépendant plus des masses en présence, la contradiction interne au cœur de la théorie est éliminée.

Spolter soutient que la force est toujours indépendante de la masse [4]. Ce n’est pas la force qui est égale au produit de la masse par l’accélération, mais le poids. Son équation à elle pour la force linéaire est F = a × d (accélération multipliée par une distance) et celle pour la force circulaire est celle donnée précédemment : F = a × A.

Sur la base de cette équation, la force gravitationnelle du soleil est égale à 4,16 × 1020 m.s−2.m2. Cette quantité est constante pour toutes les corps en orbite autour du Soleil et est indépendante de la masse de ce corps. La force de gravitation du Soleil calculée par la 2e loi de newton n’est pas constante et varié de 4,16 × 1032 newtons pour Jupiter à seulement 0,31 newton pour le satellite Pionner 5. Accepter l’équation de Newton c’est supposer que quelque part le Soleil “reconnaît” chaque corps en orbite et attribue à chacun un montant spécifique de force gravitationnelle.

Selon l’équation de Spolter, la force gravitationnelle de la Terre est également constante (1,25 × 1015 m.s−2.m2) pour tous les objets en chute libre, pour les satellites et pour la Lune. Avec l’équation de Newton cela va de 0,2 newton pour le satellite ERS 12 à 1,98 × 1020 newtons pour la Lune. Des résultats semblables sont obtenus pour toutes les planètes de notre système solaire [5].

La théorie de la gravitation de Newton (et également celle d’Einstein) ignore la rotation du corps central et le moment de torsion généré par cette rotation. Spolter suggère que c’est cette rotation de l’étoile, de la planète, etc. qui génère la force gravitation et entraîne les autres corps à tourner autour d’elle. Cette idée avait aussi été avancée par Johannes Kepler et est également soutenue par d’autres chercheurs [6]. Spolter montre que les distances moyennes des planètes au soleil ne sont pas distribuées au hasard mais suivent une loi exponentielle, ce qui indique que la gravité est quantisée, au même titre que les orbites des électrons sont quantisées. Elle montre aussi qu’il en est de même pour les planètes qui comportent plusieurs lunes.

Les chiffres retenus pour les masses et les densités des planètes, des étoiles, etc. sont purement théoriques ; on n’a jamais mis une planète sur une balance pour la peser ! Les masses des corps célestes sont calculées à partir de la forme de Newton de la 3e loi de Kepler qui affirme a priori que le ratio constant de Kepler (r3/t2) est égal à la masse inerte multipliée par la constante de gravitation. Cependant cette équation est dimensionellement inconsistante : elle implique que la masse est égale à un volume divisé par un temps au carré. L’équation peut s’équilibrer à condition d’affecter la G la dimension bizarre mentionnée plus haut : un volume divisé par une masse elle-même multipliée par un temps au carré. Mais, une constante telle que G constitue seulement un nombre proportionnel et ne peut pas être utilisée pour équilibrer une équation aux dimensions.

Dans le Dictionnaire du Diable on trouve un excellent exemple du raisonnement circulaire dont souffre la théorie newtonienne de la gravité. La gravitation est définie de telle sorte : “La tendance qu’ont tous les corps à se rapprocher les uns des autres avec une force proportionnelle à la quantité de matière qu’ils contiennent — la quantité de matière qu’ils contiennent étant déduite de la force de leur tendance à se rapprocher” [7].

Notes :

▶ [1] Pari Spolter, Gravitational force of the sun, Granada Hills, CA, Orb Publishing, 1993, pp. 137–138.
▶ [2] Ibid., p. 18,
▶ [3] Ibid., p. 117,
▶ [4] Ibid., pp. 231–238.
▶ [5] Ibid., pp. 195–198.
▶ [6] Johannes Kepler, Epitome of Copernican astronomy (1618–21), in Greatbooks of the wester world, Chicago : Encyclopaedia Britannica, Inc., 1952, vol 16, pp. 895–905 ; Stephen Mooney, “From the cause of gravity to the revolution of science”, Apeiron, v. 6, no &-2, pp. 138–141, 1999.
▶ [7] Cité dans Meta Research Bulletin, 5:3, p. 41, 1996.

Cet article vous a été proposé par Jean-Yves Hervouët

Voir aussi :

▶ Qu’est-ce que la science ? Un golem ou un robot ?
▶ L’anti-astrologisme chrétien
▶ Pour en finir avec l’anti-astrologie
▶ Introduction à la cosmogonie astrologique
▶ Quelques réponses à un astronome anti-astrologue : expérience vécue
▶ Yves Ouatou et les Zantis en B.D.
▶ Yves Ouatou et l’anti-astrologisme médiatique
▶ Yves Ouatou et les tours de la Défense
▶ Cosmogonie astrologique


Les significations planétaires

par Richard Pellard

620 pages. Illustrations en couleur.

La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.

La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.

La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.

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Pluton planète naine : une erreur géante

par Richard Pellard

117 pages. Illustrations en couleur.

Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.

Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?

Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !

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