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en Astrologie Naturelle

Interpréter globalement

Interpréter un thème est une opération délicate et complexe… sur ce postulat, la plupart des astrologues, quelles que soient leurs tendances, peuvent se mettre d’accord. Pour autant, tous les astrologues interprètent-ils le thème dans sa globalité, c’est-à-dire en accordant autant d’importance aux configurations zodiaco-planétaires dominantes, qu’aux sous-dominantes, non-dominantes dites “faibles”, et partant, à la fonction planétaire dite “aveugle” ? Rien n’est moins sûr, et ce n’est là qu’une étape de l’interprétation…

L’iceberg et la consultation

Les personnes qui consultent des astrologues ne sont pas toujours avares de confidences sur la façon de pratiquer des “confrères”, et même s’il convient de relativiser ce genre de propos, on s’aperçoit néanmoins que tel ou tel praticien s’est en fait la plupart du temps appesanti sur la configuration dominante de la personne dont il a le thème sous les yeux. Autrement dit, et pour reprendre la terminologie de Jean-Pierre Nicola (1), cela revient à n’interpréter que le “Héros” et ses faiblesses, opération déjà délicate et complexe au demeurant, qu’il n’est pas question bien entendu d’escamoter. Tout étudiant qui sait hiérarchiser un thème, et qui connaît correctement son clavier zodiaco-planétaire, en fait tout autant, et il n’y a pas de raison de bouder son plaisir d’interpréter, que ce soit la partie visible (dominantes) ou la partie invisible (non-dominantes) de l’iceberg, pour reprendre une image conventionnelle. C’est ainsi d’ailleurs que le doigté vient petit à petit.

Mais si on en reste à l’étude exclusive des super-dominantes, on limite considérablement ladite interprétation du thème, et plus encore celle du fonctionnement du sujet, tant il est vrai que son ciel de naissance le dépasse, l’englobe, le relativise, le dépersonnalise. Et pour reprendre la très juste réflexion de Richard Pellard dans le n° 3 du Fil d’ARIANA (2), “être soi ne se réduit pas à être Sujet”.

Le “Héros” et ses “faiblesses” n’est en fait pas dissociable de “l’Ombre” et de son “éventuelle lumière”, dans le modèle interprétatif cité plus haut. Interpréter globalement un thème ne consiste pas à marcher au feeling, par touches impressionnistes plus ou moins inspirées, mais à appliquer une méthode qui permette de structurer l’ensemble, et par conséquent aussi de mettre en perspective les différents pôles et fonctions, en différenciant ceux qui sont le plus souvent et le moins souvent mobilisés par le sujet, qui ne se limite pas à lui-même…

Interpréter “l’Ombre

Il ne s’agit pas de diagnostiquer un manque total d’humour, de désinvolture, une impossibilité à communiquer ou à s’ouvrir à des signaux insolites, dès lors que l’on veut dégager la signification d’un Mercure “aveugle”. Pour peu que le sujet réalise un bon équilibre au niveau de ses fonctions dominantes et sous-dominantes, les fonctions de fin de hiérarchie resteront certes peu fréquemment mises à contribution de manière adaptative. Mais néanmoins, il n’est pas interdit de penser qu’une relative intégration puisse parfois se faire, peut-être du reste à la faveur de circonstances particulières pour le sujet (3).

Il n’est pas ici question de donner des recettes d’interprétation à propos des questions qui se posent au sujet de ce qui est dans “l’Ombre” du thème, mais de partager des éléments concrets de réflexion. Exemple : peut-être êtes-vous aussi imprudent que moi, et avez ainsi promis à Richard Pellard d’écrire un article. Vous remettez toujours à plus tard la rédaction de votre article, jusqu’au moment où on vous rappelle, c’est bien normal, votre promesse, et vous voilà au pied du mur ! Ou de la page blanche… c’est-à-dire face à l’inconnu de ce que vous devez écrire (4), à un continent encore inexploré de vous-même, de vos potentiels, qui n’est pas sans analogie avec “l’Ombre” de votre thème. Si vous n’aviez jamais ressenti le besoin d’écrire auparavant, c’est parce que l’acte d’écrire n’appartenait pas à vos besoins les plus fréquents, analogues aux fonctions dominantes de votre thème. Se pose alors la question suivante : “Ai-je quelque compétence pour écrire un article ?

Dans l’approche de toute nouvelle activité dont nous n’avons pas l’expérience, nous passons par un processus qui va se décliner en quatre étapes, pour autant bien sûr que l’on se décide d’aller le plus loin possible dans cette action. Dans la première étape de ce processus, nous sommes tout d’abord :

Inconscients de notre incompétence — ou non savoir-faire (alors qu’on a fait savoir que…)

… car aussi longtemps qu’on ne s’est pas frotté à une expérience, une réalité (niveau ‘E’) du R.E.T., dans quelque domaine que ce soit, du plus simple (‘R’) au plus complexe (‘T’), qu’il s’agisse d’écrire un article sur l’astrologie, d’apprendre à conduire où à jouer du piano, il est toujours possible de s’imaginer que c’est plus facile ou plus difficile selon ce que les autres en ont dit. En fait, cette première étape, qui consiste à aller y voir, est très importante, car à ce stade, vous pouvez aussi bien continuer que vous laisser décourager, et peut-être renoncer.

Si au contraire vous ne vous laissez pas décourager et que vous persévérez malgré les difficultés plus ou moins importantes que cela représente pour vous, vous êtes alors sur le point de franchir la deuxième marche, car ce faisant l’on devient :

Conscient de son incompétence

… et c’est à partir de là que cela devient très intéressant. Renoncer s’était se priver de découvrir comment on allait s’y prendre, mais aussi petit à petit découvrir de nouveaux plaisirs, de nouvelles sensations, peut-être des aptitudes jusque là restées en friche (analogues aux fonctions planétaires “faibles” de notre thème natal). Ainsi, à force de remettre un certain nombre de fois votre ouvrage sur le métier, il se peut même que cela devienne une passion. Et pour peu que vous conserviez quelque chose de votre manque de confiance du début, que vous aurez changé chemin faisant en un sentiment positif d’humilité, alors vous voilà en train de franchir la troisième étape, non moins importante que les autres, qui nous propose de devenir :

Conscient de sa compétence (peut-être de son talent)

On découvre alors par exemple qu’on peut utiliser avec plaisir et peut-être même avec brio sa fonction mercurienne, qu’on avait jamais jusqu’alors songé à exploiter parce qu’elle se trouvait dans “l’Ombre” du thème. Il reste alors une dernière étape à franchir, qui peut prendre, selon les cas et le genre d’activité, plus ou moins longtemps avant de se libérer, et demander d’une certaine façon de désapprendre certaines choses, tout en restant conscient de son parcours et de ses possibilités. On arrive ici au point où ce qui autrefois demandait des efforts, se fait maintenant par automatisme, très naturellement. On peut alors goûter la liberté d’être :

Inconscient de sa compétence

… un phénomène qui n’est pas sans affinité avec l’Intégration de cette nouvelle fonction. Autant dire, par conséquent, que tout processus d’apprentissage, ainsi que la finalité de tout apprentissage, s’inscrit dans le modèle du S.O.R.I. (Sujet-Objet-Relation-Intégration) conceptualisé par Jean-Pierre Nicola ; c’est un des outils d’interprétation et de réflexion majeurs de l’école conditionaliste. Comme vous pouvez le constater, selon que vous adoptez le point de vue d’un référentiel Sujet, Objet, Relation ou Intégration, vous pouvez aussi bien analyser et situer telle ou telle étape d’une réalité humaine, d’une situation, d’une œuvre d’art.

À la première étape du processus décrit plus haut, nous avons un Sujet (je, tu, ils) “inconscient de son incompétence”, parce que ne connaissant pas l’Objet auquel il va se retrouver confronté (l’article à écrire). Puis il devient “conscient de son incompétence” lorsqu’il souffre mille morts pour remplir sa page blanche avec des idées qui se tiennent. Si la Relation est poursuivie, le Sujet s’enrichit, évolue par cette Relation, et prend conscience par l’Objet de ses aptitudes, donc de lui-même, mais différemment, en s’appropriant de nouvelles compétences (à force de travailler, il a fini par réussir à écrire cet article, ce dont il doutait au début d’être capable). Il devient “conscient de sa compétence” nouvellement acquise. C’est à ce moment que peut s’opérer l’Intégration de cette nouvelle compétence, fruit de ce travail tant sur lui-même que sur l’Objet avec lequel il est en Relation. Il est conscient désormais qu’il sait écrire un article, et peut se payer le luxe de devenir alors “inconscient de sa compétence” : cette nouvelle fonction ou aptitude extirpée de “l’Ombre” peut maintenant faire partie de ses routines de fonctionnement. Le même processus en quatre étapes peut s’observer dans l’intégration éventuelle de fonctions planétaires non-dominantes à la naissance.

Que dois-je faire comme métier selon mon thème ?

Bien entendu, l’apprentissage de telle ou telle activité n’est pas réservé à une ou plusieurs “familles planétaires”, ce qui reviendrait à un choix du genre : “être ‘t’ ou ‘R’ ou conduire, il faut choisir”. Néanmoins, il est vrai que certaines activités seront plus faciles d’accès à une famille planétaire dominante, voire à telle planète dominante. Ainsi, avec un niveau ‘R’ (Soleil-Mercure-Vénus) dominant, sera-t-il plus facile d’exercer d’emblée une activité demandant des talents de communication, alors qu’avec un niveau ‘R’ non-dominant, l’acquisition des compétences que requiert cette même activité demandera-t-elle un effort de la part du Sujet, lequel par ailleurs ne se “reconnaîtra” pas dans cette activité.

Mais interpréter un thème consiste à poser des questions pertinentes, plutôt que d’imposer des réponses (qui seraient dans le thème ?). Sur les services d’astro-voyance 3615 Yvouatou, le public demande en général : “Que dois-je faire comme métier selon mon thème ?” ou “qu’est-ce-que-je-vais-faire-vous-qui-voyez-mon-avenir-écrit-depuis-toujours ?” !

Interpréter est aussi mener une enquête pour tenter de comprendre comment un Sujet a répondu aux problèmes que lui posait le ciel sous lequel il est venu au monde en même temps qu’un certain nombre d’autres Sujets, qui auront, eux, répondu autrement, en fonction de leurs héritages terrestres et des Objets auxquels l’ensemble de ces tendances astrales natales sont confrontées. La pratique de telle ou telle activité (surtout socio-professionnelle) n’a le plus souvent rien à voir avec notre thème de naissance, sauf à croire des calembredaines… “Si vous êtes astrologue, ‘votre’ Uranus en Maison IX n’y est pas pour rien”, m’a-t-on dit d’un air entendu. Et celui qui m’a donné cette précieuse information ne jurait que par les Maisons égales… En fait, telle activité peut être la réponse originale trouvée par un Sujet, pendant un ou plusieurs transits, pour s’adapter à la situation à laquelle il était confronté ; elle peut être aussi la conséquence d’une rencontre déterminante avec une personne qui pratiquait cette activité. De tels exemples montrent à quel point la réduction du thème au Sujet et du Sujet à son thème est absurde.

Le thème de chacun est une totalité structurée et hiérarchisée, avec des tendances fortes, moins fortes et carrément faibles, lesquelles peuvent néanmoins s’actualiser dans ce genre de circonstances. Le processus d’apprentissage en quatre étapes décrit plus haut, dans une activité donnée, peut parfois contribuer à intégrer partiellement ou totalement des fonctions non-dominantes, selon la structure de notre thème. Ainsi, des fonctions faibles peuvent être exploitées, de manière plus ou moins maîtrisée, car certaines activités en tant qu’Objets d’investissement des tendances zodiaco-planétaires natales (une passion, une situation, une œuvre, etc.) et les Relations qu’elles impliquent vont nécessairement nous confronter à nos manques (pôle faible de notre thème) et nous obliger à un travail sur soi, pour persévérer et progresser dans l’activité en question. Ce qui ne change rien au fait qu’il est beaucoup plus facile de trouver un équilibre simple dans des activités qui correspondent à nos tendances dominantes.

Une horizontale et deux perpendiculaires

Autrement dit, l’interprétation globale d’un thème n’est pas seulement une question de méthode et de technique, mais aussi d’aptitude à se mettre à la place de l’autre, ne serait-ce que pendant le temps d’une consultation. Aptitude à l’écoute, aptitude à la négociation, à la mise en Relation entre le Sujet et son thème-Objet. L’entretien peut être chaleureux sans pour autant sacrifier à la demande implicite du “parlez-moi-de-moi-rassurez-moi”, mais il consiste surtout à montrer au Sujet quand, comment il peut aller vers la construction de son “centre” ou “soi” plus efficacement, par le passage et la Relation à l’Objet, à l’autre, aux autres, ce qui parfois peut lui demander de mobiliser temporairement des fonctions non-dominantes.

De ce point de vue, l’astrologue a en quelque sorte la même responsabilité que le biographe d’une personnalité vivante. Il peut brosser un portrait qui montre ce qu’on appelle le “caractère”, les “qualités”, les “défauts”, les “faiblesses” du Sujet, sans jamais sortir du référentiel Sujet, c’est-à-dire en ne prenant pas en compte toutes les modifications que la Relation du Sujet avec des Objets d’investissement de ses tendances astrales natales ont pu apporter dans son fonctionnement. Ce en quoi il est extrêmement réducteur : le Sujet ne se réduit pas à ses tendances dominantes natales, astrales ou autres. À ce propos, voici ce que Marguerite Yourcenar écrivait dans les notes des Mémoires d’Adrien :

Ne jamais perdre de vue le graphique d’une vie humaine, qui ne se compose pas, quoi qu’on en dise, d’une horizontale et de deux perpendiculaires, mais bien plutôt de trois lignes sinueuses étirées à l’infini, sans cesse rapprochées et divergeant sans cesse : ce qu’un homme a cru être, ce qu’il a voulu être, et ce qu’il fut.

Michel Dacremont, juin 1995.

Notes

▶ 1. Pour les lecteurs qui l’ignoreraient, l’astrologue Jean-Pierre Nicola a imaginé une méthode d’interprétation schématique et simplifiée du thème natal, méthode dite du “Héros et son Ombre”. Les 5 premières planètes du classement et les systèmes d’aspects correspondant représentent le “Héros”, et les 5 dernières “l’Ombre”. Au “Héros” correspondent les fonctions planétaires dominantes ou sous-dominantes, celles qui sont le plus souvent exploitées par le sujet ; à “l’Ombre” correspondent les planètes non-dominantes, en relation avec des facultés astro-psychologiques rarement ou jamais utilisées par le sujet. Ce binaire basique se sophistique en introduisant les notions de force et de faiblesse chez le “Héros” et son “Ombre” : les forces du “Héros” correspondent ainsi aux aspects ou systèmes d’aspects à la fois consonants et dominants, ses faiblesses aux aspects dominants et dissonants ; les forces de “l’Ombre” sont en relation avec les aspects non-dominants et consonants, ses faiblesses avec les aspects non-dominants et dissonants (note de R. Pellard).
▶ 2. cf. l’article “Réflexions et questions d’une amie”.
▶ 3. Voir le § “Transits planétaires & prises de conscience” dans l’article du Fil d’ARIANA ci-dessus cité.
▶ 4. Ce qui ne veut pas dire que Mercure = écrivain-écriture, comme le prétend l’astrologie traditionnelle. Il est évident qu’il n’est pas nécessaire d’avoir un Mercure dominant pour ressentir le besoin de s’exprimer par l’écrit.

Article paru dans le n° 4 du Fil d’ARIANA (octobre 1996).

Cet article vous a été proposé par Michel Dacremont

Voir aussi :

▶ Théorie de l’interprétation
▶ Astrologie et connerie
▶ Astrologie et inconscient, des atomes aux planètes
▶ Astrologie, adaptation & inadaptation
▶ Exercice d’interprétation en “aveugle”
▶ Fréquences et intensités, une méthode d’interprétation
▶ Historique de l’évaluation des puissances planétaires
▶ Interpréter globalement
▶ La correction de l’heure de naissance
▶ La fonction “aveugle” et le S.O.R.I.
▶ La hiérarchisation des planètes
▶ Le “Héros” et son “Ombre”
▶ Protocole de hiérarchisation d’Astrosoft 2.2
▶ Thème de domitude et hiérarchisation planétaire


Les significations planétaires

par Richard Pellard

620 pages. Illustrations en couleur.

La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.

La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.

La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.

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Pluton planète naine : une erreur géante

par Richard Pellard

117 pages. Illustrations en couleur.

Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.

Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?

Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !

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