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Les “aspects” aux Angles

Nombreux sont les astrologues qui font le plus grand cas des aspects que forment les planètes avec les quatre “Angles” de la sphère locale (AS-DS-MC-FC), et même des aspects que forment entre eux les angles. Ces aspects entre planètes et angles (surtout l’AS et le MC) constituent même, pour la plupart d’entre eux, un critère de valorisation décisif.

Vous avez sans doute remarqué que la méthode de valorisation planétaire ici proposée ne tient aucun compte de ce facteur. Il est temps d’expliquer les raisons de cette élimination. Il est pour cela indispensable de revenir sur quelques bases d’astronomie élémentaires.

Observez la figure ci-contre. Elle représente la succession des Ascendants et le parcours du Soleil dans la sphère locale pour une latitude de 45° N, du 0° E au 0° W. La date choisie est celle de l’équinoxe de printemps, le Soleil est donc à 0° E. Le cercle extérieur figure le plan méridien, la section de sphère horizontale représente le plan horizontal et la section inclinée par rapport au plan de l’horizon, le plan écliptique.

Par définition, le plan méridien, sur lequel est situé le MC (Milieu-du-Ciel) est toujours perpendiculaire (angle de 90°) au plan horizontal. Pour cette latitude et cette date, à environ 6 h 00 (heure locale), le Soleil se trouve à l’intersection du plan horizontal et du plan écliptique (l’individu qui naît à ce moment-là est donc Bélier Ascendant Bélier). On observe ensuite l’ascension du Soleil sur l’écliptique dans l’hémisphère diurne, tandis que se succèdent les Ascendants : Taureau, Gémeaux, Cancer, etc. Grâce à ces douze dessins, il vous est aisé de remarquer que, du fait de l’inclinaison de la Terre sur son orbite et des effets dûs à la latitude :

▶ l’angle H/MC (intersection entre le plan écliptique et la partie diurne du méridien ou culmination supérieure) ou hauteur du MC par rapport à l’horizon varie en fonction de l’heure : il est au plus haut pour un AS à 0° Balance (environ +68°) et au plus bas pour un AS à 0° Bélier (environ +22°) ;

▶ l’angle H/AS (H étant la projection du point MC sur le plan horizontal, indiquant la direction du Sud dans l’hémisphère Nord) ou azimut de l’Ascendant varie également en fonction de l’heure. L’azimut de l’AS atteint son maximum à AS à 0° Cancer (environ +124°) et son minimum pour un AS à 0° Capricorne (environ +55°) ;

▶ quelle que soit l’heure de la journée bien entendu, le plan méridien reste toujours perpendiculaire au plan horizontal, et le MC, qui appartient au méridien, se trouve toujours à 90° de l’axe AS-DS définissant le plan horizontal.

Les Tables des Maisons permettent de calculer à quels degrés de longitude écliptique précis se situent l’AS et le MC et, par déduction, le DS et le FC et les pointes des Maisons. L’utilisation des Tables des Maisons nous incite à privilégier, dans nos représentations horoscopiques, la projection des positions planétaires sur le plan écliptique. Il existe pourtant d’autres plans de référence et systèmes de coordonnées pour définir les positions planétaires : les coordonnées équatoriales par exemple, permettent de prendre en compte les déclinaisons, tandis que les coordonnées strictement locales nous renseignent sur les azimuts et les hauteurs.

Coup d’œil sur la Table des Maisons

Mais revenons aux coordonnées écliptiques, qui sont les plus couramment utilisées en astrologie. Ouvrez votre Table des Maisons. Pour une latitude de 45° Nord, vous noterez que :

▶ pour un AS à 0° Bélier le MC est à 0° Capricorne, donc à 90° de longitude écliptique de l’AS.
▶ pour un AS à 0° Cancer le MC est à 3° Poissons, donc à 117° de longitude écliptique de l’AS.
▶ pour un AS à 0° Balance le MC est à 0° Cancer, donc à 90° de longitude écliptique de l’AS.
▶ pour un AS à 0° Capricorne le MC est à 28° Balance, donc à 62° de longitude écliptique de l’AS.

Rappelons donc que par définition, le point MC (méridien supérieur) se trouve toujours perpendiculaire à l’axe AS-DS, et donc à 90° du plan horizontal. Votre Table des Maisons rend parfaitement compte de cette réalité astronomique lorsque l’AS est à 0° Bélier ou 0° Balance. Mais comment se fait-il que dans tous les autres cas, l’angle d’écliptique formé par le point AS et le point MC ne soit pas de 90° ? Pire même : dans les cas extrêmes et toujours pour la latitude de 45° (voir fig. 2), pour un AS à 0° Cancer, le MC se trouve dans l’orbe d’un trigone (120°) à l’AS, tandis que pour un AS à 0° Capricorne, le MC fin Balance est presque au sextile (60°) de l’AS !

D’où, dans nos schémas horoscopiques, un MC qui penche parfois à gauche (pour les AS compris entre 0° Balance et 0° Bélier dans le sens des Signes) et parfois à droite (pour les AS compris entre 0° Bélier et 0° Balance dans le sens des Signes). Nos Tables des Maisons auraient-elles “tout faux ?” Pas si vite ! En réalité, le MC est bien toujours systématiquement à 90° de l’AS. Mais rappelez-vous : ces Tables privilégient le plan de l’écliptique (ou zodiaque solaire). Or, vous devez savoir que, pour une latitude donnée, les Signes ne mettent pas tous le même temps pour se lever, et donc pour passer à l’Ascendant.

Ascendants lents et Ascendants rapides

Gardons notre Table des Maisons ouverte à la page des latitudes 45° et calculons les temps de passage à l’AS des Signes du zodiaque. L’opération est très simple. Prenons l’exemple du Bélier : il suffit de soustraire du Temps Sidéral (colonne d’extrême-gauche) pour 0° Taureau, le Temps Sidéral correspondant à 0° Bélier, d’où : 19 h 05’ − 18 h 00’ = 1 h 05’. Il faut donc 1 h 05 min pour que les 30° du Bélier passent à l’Ascendant. D’où les valeurs (arrondies) suivantes :

▶ Bélier 1 h 05’
▶ Taureau 1 h 20’
▶ Gémeaux 1 h 54’
▶ Cancer 2 h 25’
▶ Lion 2 h 38’
▶ Vierge 2 h 38’
▶ Balance 2 h 41’
▶ Scorpion 2 h 38’
▶ Sagittaire 2 h 25’
▶ Capricorne 1 h 54’
▶ Verseau 1 h 20’
▶ Poissons 1 h 05’

Les 30° Bélier mettent donc 1 h 05’ pour défiler à l’horizon, contre 2 h 41 pour les 30° Balance. Concrètement, en imaginant que le nombre de naissances soit réparti régulièrement sur toutes les heures de la journée, cela signifie que vous avez deux fois plus de probabilité de rencontrer des gens nés avec un AS Balance qu’avec un AS Bélier.

Ce phénomène, méconnu de la plupart des astrologues, est un piège idéal pour astro-statisticiens amateurs, non avertis de ces réalités astronomiques dues à l’inclinaison de la Terre sur son orbite et à son auto-giration sur un axe oscillant… Plus généralement, ce phénomène astronomique nous permet de distinguer deux groupes de Signes, départagés par l’axe solsticial.

▶ du 0° Cancer au 0° Capricorne, le groupe des Signes de longue ascension qui ont les plus longues durées de présence à l’Ascendant.
▶ du 0° Capricorne au 0° Cancer, le groupe des Signes de courte ascension qui ont les plus courtes durées de présence à l’Ascendant.

Pourquoi y a-t-il de petites et de grandes Maisons ?

Peut-être pensez-vous que nous nous sommes éloignés de notre propos initial : les “aspects” aux Angles. Il n’en est rien. En effet, si chaque Signe a sa durée de passage à l’AS, il en est de même pour son passage dans chacune des Maisons. C’est pour cette raison que, dans la représentation classique des Thèmes privilégiant le zodiaque et donc l’écliptique, la plupart des horoscopes ont des Maisons d’étendues inégales, comptées en degrés de longitude zodiacale. Ainsi, avec un AS à 0° Cancer, le MC étant à 3° Poissons pour une latitude de 45°, les Maisons XII, XI et X sont contenues dans un arc de 117° d’écliptique, alors que les Maisons IX, VIII et VII s’étendent seulement sur 63°. Cela voudrait-il dire que le Soleil met deux fois plus de temps pour passer de son lever à sa culmination supérieure (midi de l’astre, MC) que pour passer de son midi (MC) à son coucher (DS) ? Bien sûr que non ! En réalité, chacun peut observer que le Soleil, au moment de l’équinoxe de printemps, met six heures pour passer de l’AS au MC en traversant les Maisons XII, XI et X, puis six autres heures pour passer du MC au FC en traversant les Maisons IX, VIII et VII…

En ce sens, les représentations anglo-saxonnes des horoscopes reflètent plus réalistement la projection du plan écliptique par rapport au méridien et à l’horizon que les représentations latines (voir fig. ci-dessous). Dans les représentations anglo-saxonnes en effet, les Maisons sont représentées avec des étendues égales, les Signes ne sont mentionnés qu’à la pointe (cuspide) des Maisons et des axes (AS-MC-DS-FC). Le MC est bien à 90° de l’AS, alors que dans la fig. 3 on pourrait croire que l’AS se trouve à environ 60° du MC.

Que deviennent les aspects aux angles ?

Dans la fig. de gauche, traditionnelle, on note que le Soleil est au trigone de l’Ascendant. Un astrologue classique en déduirait immédiatement que c’est un excellent présage. Merveilleux. Mais qu’en est-il en réalité ?

Cette réalité est mieux illustrée par la fig. de droite. Le Soleil au FC se retrouve en orbe de carré (90°) à l’AS. Cette fois, c’est un très mauvais présage pour un astrologue traditionnel…

Si l’on veut à tout prix étudier l’efficacité éventuelle des prétendus “aspects aux Angles” en respectant les réalités astronomiques, et tout en continuant à utiliser les représentations horoscopiques classiques privilégiant l’écliptique et la domification placidienne, il est donc indispensable de ne retenir que les aspects aux Angles suivants :
▶ un astre n’est au sextile exact de l’AS que s’il est situé sur la pointe des Maisons III et XI. Un astre n’est au sextile exact du MC que s’il est situé sur la pointe des Maisons XII et VIII.
▶ un astre n’est au carré exact de l’AS que s’il est situé sur la pointe des Maisons X et IV. Un astre n’est au carré exact du MC que s’il est situé sur la pointe des Maisons I et VII.
▶ un astre n’est au trigone exact de l’AS que s’il est situé sur la pointe des Maisons IX et V. Un astre n’est au trigone exact du MC que s’il est situé sur la pointe des Maisons II et VI.

Angularités et aspects aux Angles

Pourquoi ces exigences concernant les prétendus “aspects planétaires aux Angles” ? Tout simplement parce que, astronomiquement parlant, nous sommes sûrs que, si une planète est exactement sur le même degré du zodiaque qu’une des pointes susmentionnées, elle est effectivement en “aspect” majeur à l’AS et au MC.

Le problème des “aspects planétaires aux Angles” n’est pas résolu pour autant. Si l’on privilégie les aspects à l’AS et au MC, pourquoi ignorer les aspects au DS et au FC ? C’est pourtant ce que fait une majorité d’astrologues : il est pour eux naturel de considérer qu’une planète formant une opposition ou un carré à l’AS “maléficie” cet Angle… alors qu’une planète opposée à l’AS est automatiquement conjointe au DS et qu’une planète en carré à l’AS peut fort bien être conjointe au FC !

Ne parlons pas des astrologues qui tirent pronostic des aspects inter-Angles : comme nous l’avons vu, un “sextile” AS-MC n’est qu’une illusion. Dans la réalité, l’AS et le MC sont toujours à 90° l’un de l’autre. Ce qui signifierait fatalement, pour ceux qui croient aux significations traditionnelles des Maisons, que le “caractère et le tempérament” (AS-Maison I) serait systématiquement en conflit (90° = carré) avec la “carrière et les honneurs” (MC-Maison X). Sans commentaires…

Cela dit, le principal “aspect aux Angles” est tout de même la conjonction. En effet, pour la plupart des astrologues, il est d’usage de dire que “Vénus est conjointe à l’Ascendant” ou que “Saturne est conjoint au Milieu-du-Ciel”. Mais évoque-t-on vraiment le même phénomène, lorsqu’on désigne sous le même vocable de “conjonction” la présence d’un astre dans la zone de son lever (AS), de son coucher (DS) ou de ses culminations supérieure (MC) ou inférieure (FC), et le moment caractéristique de l’intercycle de ces deux astres où ils se retrouvent géocentriquement à proximité l’un de l’autre ?

Cela n’a rien d’évident. Et à proprement parler, il est probablement faux d’interpréter la présence d’un astre à proximité d’un Angle comme une “conjonction” à cet Angle. Lorsqu’un astre se trouve dans la zone qui entoure le point AS, il n’est pas “conjoint” à l’AS… Il est situé en un lieu où s’effectue selon des modalités et propriétés objectives dont nous ignorons presque tout, le passage de l’hémisphère nocturne au diurne dans le sens apparent de rotation. Lorsqu’un astre est présent aux abords du MC, il est situé dans une zone où son passage de l’hémisphère oriental (à gauche du Thème) à l’occidental le rend “dominant”, selon nos définitions actuelles. Idem pour les autres Angles.

Et puis, tant qu’à faire, pourquoi ne pas tenir compte de tous les aspects entre planètes et points caractéristiques de la sphère locale (non seulement les Angles, mais aussi les cuspides des Maisons) ? En admettant que les significations actuellement attribuées aux Maisons soient pertinentes (ce qui est très loin d’être prouvé), en quoi et pourquoi la cuspide d’une Maison serait-elle à elle seule représentative des significations attribuées à cette Maison ? Cela n’a aucun sens, d’autant plus que nous ne sommes pas sûrs des limites exactes des Maisons.

En théorie, ce qui rend les angles de la sphère locale si essentiels dans les valorisations planétaires, c’est probablement, au niveau des causalités physiques, qu’ils sont des lieux de transition entre diurne et nocturne, orient et occident. Les progrès et découvertes futures en astrologie nous renseigneront peut-être sur ce sujet.

En pratique, les “aspects aux angles” posent d’insurmontables problèmes, ne serait-ce que sur le terrain, très expérimental, des grilles de hiérarchisation. Toutes les méthodes de classement des planètes qui ont intégré les aspects aux Angles ont produit des résultats décevants. Le critère d’aspect à l’AS et au MC était d’ailleurs utilisé dans les premières grilles de hiérarchisation de l’école conditionaliste, mises au point à la fin des années 70 par Max Lejbowicz, au détriment d’ailleurs de la cohérence et de l’homogénéité, qui exigeaient au minimum que tous les aspects aux Angles, y compris au DS et au FC, soient pris en compte dans l’élaboration de ces grilles.

Ces dernières ont été depuis, à juste titre, abandonnées, pour se révéler la plupart du temps non conformes à l’observation. Et c’est en extirpant les “aspects aux Angles” des méthodes de classement des planètes que l’astrologie est progressivement parvenue à produire des méthodes de hiérarchisation fiables. Autant dire que ces prétendus “aspects” ne le sont pas, fiables…

Article paru dans le n° 3 du Fil d’ARIANA (avril 1995).

Cet article vous a été proposé par Richard Pellard

Voir aussi :

▶ Théorie et pratique des aspects
▶ Les aspects, phases d’un cycle
▶ Aspects : existe-t-il un modèle traditionnel ?
▶ Aspects : théorie et bilan conditionaliste
▶ Les Aspects planétaires et leurs orbes
▶ Les Aspects kepleriens
▶ Chronologie des Aspects et Transits
▶ Les Aspects planétaires
▶ Une brève histoire des Aspects interplanétaires


Les significations planétaires

par Richard Pellard

620 pages. Illustrations en couleur.

La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.

La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.

La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.

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Pluton planète naine : une erreur géante

par Richard Pellard

117 pages. Illustrations en couleur.

Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.

Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?

Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !

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