Yves Michaud a publié Chirac dans le texte aux éditions Stock. Ce livre est un régal d’intelligence, de lucidité et de vacherie. L’intérêt pour l’astrologie, c’est qu’il dissèque avec une extraordinaire pertinence le fonctionnement le plus négatif d’un “grand R” en Sagittaire en dissonance avec le ‘E’ en Vierge : discours creux ultraparadoxal du “Supermenteur” en désaccord avec la réalité des faits ‘E’ et le Sens des Contraires. Une lecture recommandée !
Depuis le 10 mai 1995, la République Française a un nouveau président : Jacques Chirac.
Devant la popularité sondagière d’Édouard Balladur, peu de politologues, et encore moins d’astrologues, avaient prévu l’élection de l’ex-maire de Paris. Quelles sont les limites de la prévision astrologique et comment peut-on expliquer, non seulement l’échec de la plupart des conjecturistes, mais aussi le succès de quelques-uns d’entre eux ? Nous essaierons de répondre à ces questions, après une brève analyse de la conjonction Soleil-Mercure en Sagittaire dans le thème et dans le vécu de Jacques Chirac.
Le ciel de naissance de Jacques Chirac se caractérise par : la culmination supérieure d’une conjonction Soleil-Mercure-Lune en Sagittaire au carré d’une conjonction Mars-Neptune-Jupiter se couchant en Vierge, Mercure étant au trigone d’Uranus en Bélier ; le lever de Saturne en Verseau opposé à Pluton en Cancer et au carré de Vénus en Scorpion opposée à Uranus et sextile à Mars.
Le Ciel a fait naître Jacques Chirac sous une dominante solaire. La Terre a fait de lui un fils unique. Solaire et fils unique : ces deux facteurs, à l’intersection des influences terrestres et célestes, ne peuvent que se renforcer mutuellement.
Dans la Théorie des âges, le stade solaire s’étale en effet de 7 mois 1/2 à un an, et concerne la période au cours de laquelle l’enfant commence à réellement prendre conscience de son identité individuelle, c’est-à-dire de son unicité.
Qu’en disent les psychogénéticiens ? “À la fin de la première année”, note Malrieu, “l’imitation est favorisée par le désir de l’enfant d’acquérir un personnage social, d’être félicité pour son adaptation aux rites.” Pour Gesell, “l’enfant de un an aime avoir un public. C’est une des raisons pour lesquelles il est souvent le centre même du cercle de famille. En tant que tel, il fait preuve d’une tendance histrionique à répéter les gestes qui ont fait rire. Il aime les applaudissements, ce qui doit l’aider à prendre conscience de son identité.”
Être un centre, être centré, c’est aussi vouloir être l’unique : c’est au cours du stade solaire qu’apparaît la jalousie, maladie infantile du désir d’unicité : on ne supporte pas de ne pas être le seul objet d’attention, on refuse l’autre qui fait de l’ombre… Ainsi est-il évident que le statut familial d’enfant unique et le statut astrologique solaire ont de profonds points communs.
Jacques Chirac, enfant unique, enfant solaire, était l’objet de toutes les attentions de sa mère : “Omniprésente, Marie-Louise Chirac est toujours à l’affût des désirs de son fils, voire de ses caprices. Sur la dévotion de cette mère pour son enfant, tous les témoignages concordent : elle le couve et le couvre d’attentions. Quand il rentre de l’école, il trouve toujours, sur la table de la cuisine, une sucette dont le papier a été ôté pour éviter tout geste inutile au petit Jacques (1).”
Dans le R.E.T. et le référentiel Sujet, la fonction solaire (‘r’ de ‘R’), l’unique qui se postule de lui-même) incite à rechercher, vis-à-vis d’autrui, une reconnaissance a priori, c’est-à-dire une reconnaissance, une attention qui ne se discute pas, ne se conquiert pas, ne se négocie pas : d’emblée, on veut être reconnu, accepté, considéré comme important, digne d’intérêt ou d’estime, sans avoir à faire d’effort, comme si cette reconnaissance était un dû, comme si l’estime d’autrui devait être apportée sur un plateau d’argent. On voit que le petit Chirac a vu ce besoin solaire, fondamental chez lui, largement satisfait par sa mère. Pour le meilleur et pour le pire, il lui faut impérativement être l’objet permanent d’une admiration inconditionnelle.
Selon le R.E.T., la fonction solaire incite le Sujet à se structurer selon des modèles simples et forts. La Théorie des âges souligne l’importance souvent décisive des premiers modèles : entre 8 et 12 mois, pendant le stade solaire, il y a “progrès de l’imitation intentionnelle : la communication avec autrui devient plus consciente ; elle est contrôlée par les modèles extérieurs aux désirs et aux émotions qui la provoquent” (Malrieu).
L’imitation et l’assimilation passive des codes sociaux de son milieu familial permettent à l’enfant de cet âge de prendre l’initiative dans la communication. Les “modèles extérieurs” : voici bien l’une des problématiques essentielles de la fonction solaire. Dans l’enfance de cette fonction, on ne tient souvent son identité que de l’imitation de modèles extérieurs à soi-même, à ses besoins et désirs propres. En imitant, reproduisant et suivant ces modèles au pied de la lettre, sage comme une image (représentation de Représentation), on espère en retour être gratifié d’une reconnaissance absolue.
Bien entendu, le très solaire Jacques Chirac n’y coupera pas : depuis qu’il est né, il n’a jamais cessé de s’identifier à des mentors, des modèles, pour structurer sa personnalité et poursuivre ses buts et ambitions dans la jungle sophistiquée de la vie sociale. Les tous premiers modèles se recrutent, on le sait, à l’intérieur de la famille proche. Plus que son père, froid, sombre, distant et souvent absent, ce fut sa mère qui initialisa cette série : “Pas du genre à passer inaperçue, elle a un grand nez, des jambes très longues et un rire tonitruant… C’est une personnalité dominatrice et sans complexe (2).” Un premier modèle extraverti et sociable qui convient tout à fait à la personnalité “R Sagittaire” du jeune Jacques, si bien qu’il le reproduira à merveille.
Deuxième modèle : c’est un officier français, le général Brosset, “quarante ans, et le torse couvert de décorations, il semble promis à la gloire et commande la 1re Division de la France Libre”, qui frappe à la porte des Chirac dans la nuit du 14 au 15 août 1944. Jacques Chirac est subjugué par l’autorité et la prestance militaire de cet homme qui mourra plus tard d’un accident de la route : “Ce fut la première grande peine de ma vie. Sans doute parce que, de toutes les personnes que j’avais rencontrées jusqu’alors, c’est celle qui m’avait le plus impressionné. C’était un héros (3).” Et c’est depuis cette période qu’il est devenu “fana-mili”, comme il le dit lui-même : fanatique de la chose militaire. Officier pendant la guerre d’Algérie, il envisagera de faire une carrière dans l’armée… mais les circonstances en décideront autrement. Bien sûr, on peut également attribuer cet intérêt pour les choses de la guerre à l’angularité de Mars à sa naissance, angularité en sur-fréquence statistique chez les grands chefs militaires, et ce n’est sans doute pas faux. Mais l’armée a aussi des attraits très solaires : strictes hiérarchies, respect absolu de la consigne, clarté des normes, exclusion des doutes et questionnements, prestige de l’uniforme…
Soleil dominant au carré de Mars, premier modèle masculin militaire : il n’en a sans doute pas plus fallu pour que Chirac se forge ainsi une identité raide, intransigeante, cassante, autoritaire, caricaturée par l’image guindée du “facho-Chirac” commandant-en-chef de troupes R.P.R. disciplinées et obéissantes, peu sujet au doute et au vague-à-l’âme. Image à la fois vraie et trompeuse, nous le verrons plus loin.
Troisième modèle important : “Monsieur Delanovitch.” L’adolescent Chirac, passionné par les cultures et civilisations anciennes et curieux de tout (n’oublions pas que Mercure est conjoint au Soleil !), s’est mis dans la tête d’apprendre le sanskrit, l’antique langue de l’Inde du nord-ouest. C’est ainsi qu’il rencontre “Monsieur Delanovitch”, un vieux et misérable russe blanc cultivé et polyglotte (il parle couramment une douzaine de langues). La rencontre avec ce nouveau “modèle extérieur” est essentielle. Pendant un trimestre, Jacques Chirac apprend le sanskrit avec lui, avant de jeter l’éponge : c’est trop difficile pour lui. Mais le vieux professeur lui propose de lui enseigner le russe. Cette fois, l’adolescent accroche. Les parents du jeune homme proposent à “Monsieur Delanovitch” de s’installer dans une chambre indépendante de leur vaste appartement parisien. Il passera désormais la plupart de son temps chez eux, remplissant auprès du jeune Jacques le rôle d’un précepteur et d’un père de substitution, presque d’un gourou : “Ce russe blanc a contribué, lui, à fabriquer le Chirac privé en lui inoculant la passion de la littérature russe, de la civilisation perse, de l’art chinois et bien d’autres choses encore (4).” Soleil conjoint Mercure : cette fois, le nouveau “modèle extérieur” a éveillé sa fonction mercurienne, sa vaste curiosité sagittarienne à l’égard de l’inconnu.
Tout au long de sa carrière politique ultérieure, Chirac n’a cessé d’être cornaqué par des mentors. Ce fut tout d’abord Georges Pompidou, qui entreprit de modeler et favoriser l’ascension de ce jeune énarque, haut fonctionnaire énergique et efficace, si parfaitement dans la norme, si soucieux de bien faire pour être reconnu de ses supérieurs. L’esthète Georges Pompidou devient son nouveau modèle, et lui inculquera “le goût de la musique, de la peinture, de la poésie (5)”.
Lorsque Pompidou meurt, Chirac se retrouve tout à coup perdu, déréférencé, privé de père et de repères : “Il ne perdait pas seulement un pater familias, mais aussi un maître, un bienfaiteur, un ange gardien. Après quoi, il lui faudrait probablement faire le deuil de ses hautes ambitions6.” Il fait alors la douloureuse et solaire expérience de sa dépendance à l’égard d’un modèle extérieur. En prend-t-il réellement conscience ? Mystère.
En tout cas, plus de trente ans après sa mort, Chirac voue encore une admiration et une dévotion inconditionnelles à son “père” en politique ; et peu après la mort de Pompidou, deux éminences grises du gaullisme le plus réactionnaire, Pierre Juillet et Marie-France Garaud, se chargent de lui et deviennent ses nouveaux mentors : décidément, il semble incapable de se passer de “modèles extérieurs” ! Le modèle politique pompidolien était celui d’un conservatisme modéré et prudemment réformiste qui, au fond, correspond bien à la nature profonde de Chirac.
Celui du tandem Juillet-Garaud est tout différent : désormais, il va se retrouver sous la coupe de deux ultra-réactionnaires, chantres de la France profonde, rurale, immuable et éternelle. À l’époque, toujours incapable de se forger une pensée et une vision du monde personnelles, Chirac va adopter sans aucun recul l’idéologie archaïque véhiculée par ses nouveaux modèles : “Quand Jacques Chirac était devant Pierre Juillet, il faisait tout pour ressembler à l’image que l’autre avait de lui (7”).
Ainsi va se constituer le personnage de “facho-Chirac”, qui est loin de correspondre à la totalité de son identité réelle… Quand on est solaire, en attente de modèles extérieurs à imiter, il vaut mieux savoir choisir ses modèles… Le duo Juillet-Garaud, en “droitisant” jusqu’à la caricature son image, ne lui aura guère rendu service, le précipitant dans des défaites électorales. Il prendra définitivement et difficilement ses distances avec ses mentors à la fin des années 70, et il lui faudra une vingtaine d’années avant de plus ou moins parvenir à être réellement lui-même.
S’est-il aujourd’hui libéré de cette recherche anxieuse et très solaire de modèles extérieurs ? Peut-être… Il affirme qu’il est enfin parvenu à être vraiment lui-même. C’est précisément le défi principal à relever lorsqu’on a comme lui un Soleil dominant dans son ciel de naissance : réussir à être son propre modèle, à se structurer et tenir debout sans l’appui de modèles extérieurs à soi-même. Alors, on ne dépend plus d’aucun être, d’aucune idée, d’aucune théorie au fond extérieurs à soi pour s’auto-définir (expression très solaire), tout en sachant que lorsqu’on s’auto-définit, il s’agit toujours d’un processus provisoire : on fait le point, mais on ne s’identifie ni ne se réduit au point qu’on fait de soi : on sait alors que même si l’image qu’elle donne d’elle-même et la personne ne font qu’un, il ne saurait être question de confondre image et personne.
C’est là une difficile opération alchimique, une radicale mutation, dont la réussite n’a rien d’évident. Tout cela ressemble bien au portrait (8) que donne J.-P. Nicola de la fonction solaire lorsqu’elle se plutonise, c’est-à-dire lorsque l’individu fortement marqué par le Soleil devient conscient de sa propre altérité, de sa propre étrangeté, de l’inconnu qu’il porte en lui-même : “L’approbation d’un consensus par la critique qu’il en fait… Il est fort et fragile, désireux de puissance pour y échapper, mal à l’aise dans ses masques… Il ne renonce pas à paraître mais veut paraître tel qu’il est. L’inconnu d’en haut a la voix assez forte pour l’empêcher de se prendre au sérieux, elle ne l’est pas assez pour le décourager à être dans les premiers. Un degré de plus et le consensus est lâché. Soleil prophétique ou simple clairvoyant… il ne fonde plus sa puissance au présent. Primitif ou déclassé d’un référentiel supérieur, il perçoit surtout en quoi et comment un consensus engendre ces déchets qui sont, à ses yeux, les véritables valeurs. Celui-là est un inadapté irrécupérable, ou un révolutionnaire, créateur de nouvelles tables ou doué pour renverser celles qui sont établies.”
Alors l’image qu’on donne de soi correspond lumineusement avec ce qu’on est profondément. C’est entre autre en insistant lourdement sur le fait — éminemment subjectif, donc objectivement discutable — qu’il s’était profondément transformé, qu’il était “enfin devenu lui-même”, qu’il s’était individuellement métamorphosé, bref qu’il avait à plus de 60 ans cessé de s’identifier à des modèles extérieurs à lui-même que Chirac est parvenu à se faire élire à la Présidence de la République.
Le Chirac nouveau est arrivé ! Pendant les années de son septennat, Pluton (source d’anti-modèles) transitera sur sa conjonction Soleil-Mercure au MC natale. On aura donc l’occasion d’observer et de juger ce qu’il en est… Pour l’heure, il semblerait plutôt qu’il se soit trouvé une fois de plus un nouveau et très ultraparadoxal mentor : sa propre fille, Claude. Et si vous doutez encore un peu de la véracité des assertions astrologiques, comparez, à fonction sociale identique, le fonctionnement de l’individu solaire qu’est Jacques Chirac, à celui de son prédécesseur, le très plutonien François Mitterrand (9).
En vérité, Jacques Chirac illustre à merveille toutes les possibilités, consonantes et/ou dissonantes, inhérentes à une conjonction Soleil-Mercure en Sagittaire : “Artiste en représentation, Jacques Chirac donne souvent le sentiment de ne pas oser être lui-même. Pour se faire aimer et comprendre, il change volontiers de costume ou de discours. Il est même capable de jouer plusieurs personnages en même temps. Politiquement, il est devenu le cas le plus ultime d’imprévisibilité structurelle (14).” L’excitation associative généralisée du Sagittaire l’incite à brasser large sur le plan de la représentativité : il entend a priori être reconnu de tous, il est en attente d’une estime générale et inconditionnelle qui lui permettrait de transcender tous les clivages, toutes les frontières idéologiques et culturelles (faiblesse d’inhibition bloquante). Comme l’a montré sa dernière campagne électorale, il veut être à la fois de droite, du centre et de gauche, sans craindre apparemment de bousculer le sens des contraires : “de cet homme, on a dit à peu près tout et son contraire. Qu’il était faible et autoritaire ; populiste et technocrate ; versatile et cabochard ; socialisant et fascisant ; sentimental et calculateur (15).”
Dans une optique “R-Sagittaire” dominante, ces contradictions flagrantes, cette perte apparemment absolue du sens des contraires propre aux Signes équinoxiaux ne pose pas réellement de problème : “Vous avez besoin d’être entouré d’un groupe de gens, même hétéroclites, qui vous admire, vous écoute et vous comprenne. Vos rapports à l’intérieur de ce groupe sont ambigus : vous êtes prêt à de nombreuses concessions et pirouettes diplomatiques pour maintenir l’harmonie, allant même jusqu’à vous identifier totalement à ses aspirations, ce qui n’exclut pas des pulsions dominatrices, un esprit d’indépendance parfois ombrageux. Le problème pour vous est de parvenir à coordonner votre désir de vous engager dans une voie unique, de vous dévouer corps et âme à une passion mobilisatrice, tout en respectant les exigences d’un esprit curieux, touche-à-tout, toujours prêt à quitter l’autoroute de la vocation pour les chemins de traverse de la fantaisie, de l’imagination ou du délire (16).”
L’excitation associative généralisée du Sagittaire incite donc à élargir sans cesse les cadres de référence du “R extensif”, à multiplier les rôles, personnages, rencontres, à essayer d’opérer des rassemblements aussi larges que possible. Bien vécue et consonante, une telle configuration zodiaco-planétaire donne un certain talent communicatif. La Vitesse d’inhibition (V−) propre aux Signes d’automne y ajoute de l’habileté tactique, l’art de l’esquive. Chirac aime à donner de lui l’image d’un bulldozer lourdaud, d’un va-t-en guerre fonceur, d’un rustique sans nuance. Une part de lui-même (la marsienne) est effectivement comme cela. Mais l’homme est également capable d’entregent, comme le souligne F.O. Giesbert. Tout en roulant des mécaniques pour la galerie, “sur le terrain, il ne pratique pas cette guerre civile froide qui, depuis plusieurs générations, divise la France. Ses ennemis, il les contourne ou les retourne (V−), c’est selon. Ce n’est pas un hasard si, en Corrèze, plusieurs élus communistes sont devenus chiraquiens.”
Une telle configuration a ses revers : avec le manque d’inhibition bloquante du Sagittaire, Jacques Chirac ne sait pas se limiter, se restreindre, se contenir. Trop à l’écoute d’autrui, trop tenté par de multiples possibles, il risque la dispersion, l’incohérence : “Le premier ministre était toujours de l’avis qui avait parlé. Du coup, ses consignes changeaient tout le temps. Et il était très difficile de travailler avec lui. D’autant qu’il était impensable de lui extorquer une conversation de fond”, témoigne l’un de ses ex-collaborateurs. Sous le masque du “facho-Chirac” carré Soleil-Mars se tapit un mercurien velléitaire et incertain, ayant d’énormes problèmes pour se “concentrer sur les questions de fond — ce n’est pas surprenant pour un homme qui ne croit pas à l’urgence du long terme (17)”.
L’ultraparadoxe d’un “R-Sagittaire” : à force de vouloir plaire à tout le monde, de multipl