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Tests et prétextes : comment démonter l’astrologie ?

Qui n’a jamais coché les cases d’un “test psychologique” dans un magazine ? En quelques questions amusantes ou sérieuses, pertinentes ou impertinentes, les tests prétendent cerner notre personnalité, révéler nos goûts, nos désirs, nos fantasmes. Ils sont aussi utilisés par les recruteurs et les psychologues pour mieux comprendre nos aptitudes, nos compétences, nos motivations. Certains chercheurs en astrologie en font aussi une grande consommation, afin d’évaluer si les réponses aux questions correspondent bien au “profil astro-psychologique” que l’on peut établir à partir d’une carte du ciel natale.

La position de la science officielle

La science officielle, on le sait, rejette l’astrologie. Les scientifiques universitaires considèrent, dans leur immense majorité, que les planètes du système solaire sont beaucoup trop lointaines pour pouvoir exercer une influence significative sur les êtres humains : “L’action à distance… est une notion très difficilement acceptable pour la raison ; cette expression… recouvre toujours une conception magique de la réalité”, estime par exemple Alexandre Koyré, philosophe spécialiste des cosmologies classiques. Physiciens et astronomes, de leur côté, affirment, apparemment avec raison, que l’hypothèse d’influences planétaires sur nos comportements est incompatible avec les lois physiques actuellement connues.

La majorité des astrologues, elle, se contente de constater que l’astrologie “ça marche”. Rares sont ceux qui se demandent pourquoi et comment. Plus rares encore sont ceux qui ont les connaissances en physique et en astronomie nécessaires pour chercher, dans l’organisation du système solaire, les causes profondes des influences planétaires. Le plus sérieux, le plus rigoureux et le plus imaginatif d’entre eux est sans aucun doute Jean-Pierre Nicola. Une quarantaine d’années de patientes et d’inlassables recherches lui ont permis de formuler des hypothèses pertinentes sur les mécanismes astronomiques qui justifieraient les significations attribuées aux planètes.

Lorsque les physiciens ou les astronomes veulent tester leurs hypothèses concernant tel ou tel aspect de la réalité, ils disposent de laboratoires bien équipés et d’outils de travail extrêmement puissants et performants. Ces conditions sont refusées aux astrologues. Dès lors, les chercheurs en astrologie sont contraints de travailler en solitaires et sont dépourvus des moyens de tester expérimentalement les idées qu’ils avancent.

Tests psychologiques et astrologie

Comment, dans ces conditions, parvenir à prouver que les astres du système solaire exercent bel et bien une influence sur nous ? En fait, on peut tenter de démontrer la réalité des influences planétaires et la validité des assertions de l’astrologie par deux biais : celui des sciences physiques (quelles sont les lois physiques encore inconnues qui sont à l’origine de l’astrologie), et celui des sciences humaines (on teste alors les comportements des individus pour évaluer dans quelle mesure ils sont déterminés par les positions, rythmes et cycles planétaires).

Étant donné la situation ci-dessus décrite, c’est bien entendu la deuxième démarche qui est la plus facile à mettre en œuvre. Mais une question se pose alors : quels tests faut-il utiliser ? Les tests psychologiques classiques développés par les psychologues, ou bien des tests spécifiquement astrologiques ? La plupart de ceux qui entreprennent ce type de recherche préfèrent la première solution. À leurs yeux, elle possède un avantage décisif sur la seconde, puisqu’elle permet de comparer les résultats obtenus par les astrologues et les non-astrologues. Si les méthodes des uns et des autres aboutissent à des résultats identiques ou très proches, on peut alors en déduire, au terme d’un traitement statistique des informations ainsi obtenues, que l’influence des astres est bien réelle.

Les quatre visages de l’Homme

Évaluer la personnalité d’un individu à partir de ses réponses aux batteries de questions contenues dans les tests psychologiques est loin d’être une opération simple. Comme le disait Confucius, “L’homme a quatre visages : ce qu’il est vraiment, ce qu’il croit être, ce qu’il montre aux autres, et ce que les autres perçoivent.” Dès lors se pose une question essentielle : qui répond aux tests ? Celui que je suis vraiment, ou celui que je crois être ? Est-ce que mes réponses reflètent l’image que je veux donner de moi-même, ou l’image que je me fais de moi-même en fonction du regard des autres ?

Exemple : imaginons qu’on me demande de répondre à la question “En général, êtes-vous sûr de vous ?” Si je suis vraiment sûr de moi en général, je répondrai sans hésiter “oui”. Mais je peux aussi faire la même réponse si je suis sans cesse en proie au doute, et que je refuse, pour une raison ou une autre, de me reconnaître dans une telle attitude. Je peux encore répondre “oui” parce que je veux donner une image valorisante de moi-même au testeur (par exemple dans le cadre d’un test d’embauche) ; je peux enfin m’être persuadé que j’étais sûr de moi parce que tous mes proches me considèrent comme tel… ce qui prouve, au fond, que je suis très influencé par les opinions de mon entourage… c’est-à-dire bien peu sûr de moi !

Pour un même individu, la réponse “oui” recouvre ainsi des réalités différentes. Se pose alors une nouvelle question : l’individu est-il capable d’être objectif vis-à-vis de lui-même ? L’expérience montre que c’est très rarement le cas. La plupart d’entre nous développons une image idéale (bonne ou mauvaise, peu importe) de nous-mêmes, souvent très éloignée de la réalité. “Connais-toi toi-même”, disait Aristote. Est-ce possible ? Puis-je sortir de ma subjectivité, prendre un maximum de distance vis-à-vis de moi-même pour observer froidement ma façon d’être, mes attitudes, mes comportements ? L’expérience, encore une fois, montre que c’est partiellement possible, mais que ceux qui y parviennent sont très rares.

Quelles questions pour quelles réponses ?

Pour pallier à la subjectivité, aux projections ou à la mauvaise foi des “répondeurs”, les concepteurs de tests doivent ainsi multiplier les questions portant sur un même trait de caractère, en faisant varier à chaque fois leur formulation. Cette opération a pour but de “piéger” l’individu testé.

Reprenons notre exemple : la question posée est “En général, êtes-vous sûr de vous ?” Perdues au milieu d’autres questions portant sur d’autres traits de caractère, on trouvera des questions plus ou moins similaires telles que 1) “Avez-vous des idées claires sur ce qui est bien et mal ?”, ou bien 2) “Faites-vous des efforts pour convertir les autres à vos points de vue en matière de religion, morale ou politique ?”, ou bien 3) “Avez-vous une grande confiance dans vos décisions ?”, ou bien 4) “Pouvez-vous prendre des décisions rapidement ?”, ou bien 5) “Avez-vous tendance à être lent et indécis dans vos actions ?

Si vous répondez “oui” à toutes ces questions, à l’exception de la dernière, le testeur estimera qu’il y a de fortes probabilités que vous soyez effectivement très sûr de vous. Par contre, si vous répondez “non” à la question n° 3 et “oui” à la question n° 5, il en déduira que vous n’êtes pas aussi sûr de vous que vous l’aviez d’abord affirmé : lorsqu’on n’est vraiment sûr de soi, on a plutôt confiance dans ses décisions, et l’on est pas lent et indécis lorsqu’il s’agit de passer à l’action…

La validité des réponses dépend aussi de la pertinence des questions posées. Celles-ci doivent être courtes, précises et bien ciblées. Par exemple, “Aimez-vous vous sentir bien ?” est une très mauvaise question : elle est vague, et l’on peut présumer qu’à part quelques masochistes invétérés, tout le monde répondra “oui”… même les masochistes, d’ailleurs, qui peuvent se “sentir bien” dans la souffrance. Tout le monde aime se sentir bien, et cet état de bien-être, vécu ou espéré, ne représente donc pas un trait de caractère significatif.

Notons enfin qu’un individu intelligent, rusé et parfaitement au courant de la manière dont sont construits les tests n’aura aucune difficulté à donner de lui-même exactement l’image qu’il désire donner. Pour peu qu’en plus il soit bon acteur, un tel individu est tout à fait capable de tromper la vigilance d’un testeur, puis d’un recruteur lors d’un entretien d’embauche par exemple…

Qu’est-ce qui est testé ?

Combien existe-t-il de traits de caractère, de modes de fonctionnement ? Une infinité. Chaque individu est une totalité, un ensemble complexe de pulsions et de tendances sculptées par son histoire, son vécu, ses conditionnements familiaux, sociaux, etc., …et aussi astraux ! En ce sens, chaque individu est unique et incomparable. Mais tout l’art des tests et des statistiques est de démontrer qu’en fait, il a de nombreux points communs avec d’autres individus.

À des fins d’analyse, les testeurs découpent donc la globalité individuelle en un nombre variable de traits de caractère tels que “extraversion” ou “introversion”, “dépendant” ou “autonome”, “agressif” ou “pacifique”, “dogmatique” ou “flexible”. Plus le nombre de traits de caractère testés et de questions posées est réduit, plus le test est simple à interpréter et plus le profil psychologique tiré des réponses au test sera simple… c’est-à-dire le plus souvent simpliste et réducteur : l’individu est alors rangé dans une catégorie, réduit à un “type”. Inversement, un très grand nombre de questions portant sur un très grand nombre de traits de caractère permet de mieux cerner, en principe, la spécificité et les subtilités de la psychologie de l’individu, au risque de s’y perdre.

À chaque planète, à chaque Signe du zodiaque sont attribués un certain nombre de traits de caractère spécifiques. Un lunaire est rêveur et indolent, un marsien actif et franc, un Sagittaire voit grand, une Vierge s’autoprotège, etc. Le but des tests astro-psychologiques est donc simple : il s’agit de vérifier, à l’aide de tests conçus par des non-astrologues, si les affirmations des astrologues sont statistiquement confirmées par les réponses des individus testés. Par exemple, si un maximum d’individus ayant un Mars dominant (angulaire à l’Ascendant, au Milieu-du-Ciel, au Descendant ou au Fond-du-Ciel) répondent “oui” à un maximum de questions portant sur l’activité et la franchise, le testeur considérera qu’il existe effectivement une corrélation entre ces deux traits de caractères et la planète Mars, et qu’il existe bien une influence astrale…

Cette méthode a déjà été utilisée par Michel & Françoise Gauquelin. Leurs statistiques basées sur des dizaines de milliers d’individus ont débouché sur des résultats globalement positifs pour l’influence de certaines planètes, et négatifs pour les Signes, les Aspects, les Maisons et les Transits. Que les anti-astrologues le veuillent ou non (ils ne le veulent pas du tout !), la véracité de l’influence astrologique est aujourd’hui un fait expérimental et une indiscutable réalité observée.

L’astrologie pro-test !?

Dans leur livre qui vient de paraître, intitulé Comment démontrer l’astrologie (éd. Albin-Michel), Suzel Fuzeau-Bræsch (ex-directeur de recherche en biologie au CNRS) et Hervé Delboy (docteur en médecine) poursuivent et prolongent les travaux des Gauquelin.

L’ouvrage comporte deux parties. La première étude est due à S. Fuzeau-Bræsch. Elle porte sur une population de 524 étudiants appartenant à diverses écoles (Polytechnique, Supélec, IUT de Paris-Sud-Orsay, HEC, école d’Architecture de Versailles, école de Commerce de Troyes, UFR de Psychologie de Lille). Le test utilisé, celui d’Eysenck-Wilson, permet d’analyser 19 traits d’une personnalité à travers les réponses à 630 questions. Tous les individus étaient volontaires, leur moyenne d’âge était d’environ 23 ans et ils n’avaient pas de connaissances en astrologie.

Une fois que les réponses ont été dépouillées, les résultats ont été confrontés aux “vues traditionnelles de l’astrologie”, en se référant souvent au Dictionnaire d’astrologie (Éd. Larousse) et un peu à l’ouvrage de C. Aubier du même nom. “L’effort des chercheurs en astrologie, écrit l’auteur, doit se tourner vers l’élaboration de protocoles précis, d’études étayées d’arguments pertinents, d’hypothèses de recherche préalables et validées par les méthodes utilisées classiquement en statistique. C’est ce que nous avons entrepris.

S. Fuzeau-Bræsch semble satisfaite des résultats statistiques qu’elle a obtenus : ils sont supérieurs aux lois du hasard, et valident donc expérimentalement, selon elle, l’existence d’influences planétaires et zodiacales. En se basant sur les résultats quantitatifs des scores de sociabilité, elle démontre par exemple que les Soleil-Balance sont nettement plus sociables que les Soleil-Bélier… Pourquoi pas : c’est bien une des assertions traditionnelles de l’astrologie. Mais l’écart par rapport à la moyenne n’est que d’environ 8 % dans les deux cas. On peut s’en satisfaire, puisque les statisticiens admettent arbitrairement que tout écart de plus de 5 % par rapport à la moyenne est significatif. Mais concrètement, cela signifie que la majorité des Soleil-Bélier et des Soleil-Balance ont quand même une sociabilité sensiblement égale à la moyenne…

Problème n° 1 : l’auteur ne nous dit nullement en quoi consiste cette “sociabilité”, “base du comportement” selon elle… ce qui manque pour le moins de précision. Le lecteur doit donc se plonger dans le livre pour rassembler les diverses questions ayant trait à ce qu’il est convenu d’appeler la sociabilité. J’ai fait ce travail pour vous et voici quelques exemples :

▶ “Aimez-vous beaucoup sortir ?” En principe, d’un point de vue simpliste, un individu qui se perçoit comme sociable devrait répondre “oui”. Mais est-il vraiment “sociable” pour autant ? Rien n’est moins sûr… Je peux certes aimer sortir pour faire la fête ou dîner avec des amis, mais aussi pour me changer un peu les idées après de longues heures de travail en solitaire, ou parce que je cherche à fuir la personne avec qui je vis, etc.
▶ “Préférez-vous lire plutôt que rencontrer des gens ?” En répondant “non”, je donne en principe un indice d’asocialité. Mais je suis peut-être un sociable exigeant et décu qui se réfugie dans la lecture, j’apprécie peut-être de rencontrer mes semblables à la bibliothèque universitaire, etc.
▶ “Êtes-vous bon parleur au milieu d’un groupe de gens ?” En répondant “oui”, je donne un indice de sociabilité. Mais on peut être bon parleur pour différentes raisons. Un exemple caractéristique est celui des acteurs : les extravertis (très souvent jupitériens) se mettent en scène et sont des bons parleurs parce que c’est dans leur nature. Les introvertis (très souvent saturniens) deviennent acteurs pour compenser une extrême difficulté à communiquer. Avec le métier, ils peuvent parfaitement finir par devenir de “bons parleurs”.

Positives ou négatives, les réponses sont, comme nous l’avons déjà vu, sujettes à caution. D’autres questions, mal traduites de l’anglais, sont parfois cocasses, comme par exemple : “Réfléchissez-vous généralement avec attention avant de faire n’importe quoi ?” Si ma réponse est “oui”, c’est que je fais “n’importe quoi” après de longues réflexions, ce qui est l’indice d’un grand désordre psychique. Si ma réponse est “non”, je fais “n’importe quoi” sans réfléchir, ce qui est normal et donc peu significatif. Précisons que la fin de la question en anglais était probablement “before doing anything”, ce qui signifie “avant de faire quoi que ce soit”, ce qui change complètement le sens de la question…

Quantités d’autres questions invitent à des réponses qui ne prouvent pas grand’chose, telles que “Si vous regardez un film drôle, riez-vous plus fort que les gens qui vous entourent ?” Cette question a pour but de détecter l’extraversion… mais elle est très vague : si je suis un introverti qui regarde un film des Monty Python, dont j’apprécie follement l’humour, et que je suis entouré de fans de l’humour de Woody Allen qui n’aiment pas l’humour des Monty Python, il est évident que je rirai plus fort que les autres. Il se peut aussi que l’introverti sinistre que je suis au quotidien n’arrive à rire qu’en regardant des films drôles, et que je me défoule à ce moment-là, etc.

Bref, tout cela est assez insignifiant.

Article paru dans le n° 7 d’Astrologie naturelle (mai 1999).

Cet article vous a été proposé par Richard Pellard

Voir aussi :

▶ Les problématiques spécifiques des statistiques astrologiques
▶ Bilan de l’astrologie statistique
▶ Le problème des jumeaux en astrologie
▶ À propos des directions primaires…
▶ Astrologie canine, astrologie cynique ? À propos d’une expérience statistique sur des chiens
▶ Suzel Fuzeau-Bræsch, biologiste et astrologue
▶ Françoise Schneider-Gauquelin et l’astro-statistique


Les significations planétaires

par Richard Pellard

620 pages. Illustrations en couleur.

La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.

La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.

La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.

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Pluton planète naine : une erreur géante

par Richard Pellard

117 pages. Illustrations en couleur.

Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.

Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?

Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !

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