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La notion d’Aspect du IIe siècle au XVIe siècle
Histoire des Aspects

Pendant plus de 2500 ans les astrologues n’ont eu qu’une notion intuitive et empirique de ce qu’est la réalité objective d’un Aspect. Ils se bornaient à en constater empiriquement certains effets réels et à en imaginer d’irréels. Très rares et très embryonnaires ont été les tentatives de conceptualisation et donc de théorisation, comme celle exposée par Ptolémée au IIe siècle et celle proposée par Kepler au XVIIe. Toutes deux ont débouché sur des explicatives erronées et des échecs. Ce n’est qu’au XXe siècle que le concept d’Aspect a commencé à être véritablement élaboré, permettant de distinguer le vrai du faux dans les antiques et traditionnelles notions et de formuler une théorie explicative rationnelle à travers une conception d’ensemble de l’astrologie. La conception et la représentation graphique contemporaines des Aspects sont le produit d’une longue histoire, et l’idée même d’Aspect a évolué au cours des millénaires.

De la désuétude à la Renaissance

Deux-cents ans après Ptolémée, l’astrologie était progressivement tombée en désuétude dans l’Occident romano-chrétien, les astrologues européens sérieux et chercheurs se sont faits rarissimes entre le IVe et le XIIIe siècle, et n’ont guère laissé de traces. On se préoccupait désormais davantage du salut de son âme crucifiée que du statut des Aspects astrologiques. On ne sait donc pas à peu près quand a commencé la transition des angles zodiacaux aux Aspects planétaires. Ce dont on est presque certain en revanche, c’est que les astrologues-astronomes arabes et persans, nouvellement convertis à l’Islam, ont joué un rôle de premier plan dans cette transition.

En effet, du VIIe au XIIIe siècle, au fil de ses conquêtes guerrières la civilisation islamique s’appropria l’héritage de toutes les cultures qu’elle soumit, et l’astrologie tomba donc, en compagnie de l’astronomie, dans son escarcelle cognitive. Le Tetrabiblos et l’Almageste de Ptolémée, ainsi que quantité de textes des savants grecs, disparus dans le trou noir de l’ignorance médiévale en Europe, furent traduits en arabe au cours des VIII-IXe siècles. Et pendant ce bref âge d’or islamique, ce sont des savants musulmans qui assurèrent en grande partie la pérennité de l’héritage ptoléméen dans tous ses domaines (astrologie, astronomie, mathématiques, géométrie, optique, cartographie, musicologie) dans les territoires conquis par le jihad en l’Europe occidentale.

Précisons au passage que ces textes de l’antiquité gréco-romaine ont bien été sauvegardés et transmis par les savants musulmans dans les territoires européens occupés par les armées islamiques. Mais il est faux d’affirmer que ces savants ont eu l’exclusivité de la sauvegarde et transmission de ces textes, qui étaient aussi conservés et commentés, y compris ceux de Ptolémée, par les savants chrétiens de l’Empire chrétien gréco-romain “byzantin bien avant et bien après cette période de conquêtes et d’occupations islamistes. On estime en effet que les trois quarts des classiques grecs actuellement connus proviennent de copies réalisées sous cet Empire Oriental. Sous le règne de l’empereur byzantin Manuel Ier (1118–1180), passionné d’astronomie et d’astrologie, les œuvres de Ptolémée avaient par exemple été traduites du grec ancien au grec médiéval, mais aussi de l’arabe au latin. Cependant seule une minorité de savants européens occidentaux - et parmi eux les astrologues savants - ayant des contacts culturels avec l’Empire chrétien Oriental pouvait les consulter. Les autres - la majorité donc - n’avaient pas d’autre choix que de se référer aux traductions arabes puis à celles de l’arabe vers le latin.

Au VIIIe siècle encore, rien de nouveau sous le Soleil des pseudo-Aspects ptoléméens. En témoignent par exemple les écrits de Masha’allah (± 740–815), l’un des principaux et des plus savants astrologues-astronomes de cette époque. Juif persan au service des Abbassides, il fut associé à la création de Bagdad en 762 afin qu’il choisisse un bon Thème astral de fondation. Bagdad devient alors un très important centre artistique et intellectuel pourvu d’une bibliothèque et d’un centre d’enseignement où sont réalisées des traductions de textes anciens grecs, syriaques et persans, et où l’on peut donc étudier l’astrologie selon Ptolémée.

Revenons aux Aspects. Commentant un autre événement que cette fondation, Masha’allah l’associe à un sextile (angle de 60°) Soleil-Jupiter, tout en précisant que le Soleil était à ce moment-là 0° 01′ du Bélier et Jupiter à 14° 36′ des Gémeaux, ce qui fait un écart angulaire de 74° 35′ et donc un orbe de 14° 35′ pour 60° correspondant à près de 24 % de cet arc de longitude écliptique. Même en étant très généreux dans la définition de l’orbe maximal pour un tel “Aspect”, c’est beaucoup trop. À titre de comparaison, la plupart des astrologues d’aujourd’hui n’admettent pas plus de 5° pour un sextile et 10 à 12° pour une conjonction… Conclusion : au VIIIe siècle, 600 ans après Ptolémée, Masha’allah évoquait toujours des angles zodiacaux, et non des Aspects planétaires. Et Masha’allah n’était pas un plaisantin, puisqu’il a aussi écrit un traité sur l’astrolabe, instrument astronomique d’observation et de calcul analogique.

La transition entre les angles zodiacaux et les Aspects planétaires s’est donc probablement faite plus tard, en relation avec le développement et le perfectionnement de l’algèbre par l’introduction du concept d’équation. On doit cette dernière innovation à un autre astrologue-astronome, Al-Khwarizmi (± 780–850), persan comme Masha’allah et comme une proportion considérable de savants musulmans de l’âge d’or islamique, et dont le nom latinisé est peut-être à l’origine du mot algorithme. Mais une autre étymologie soutient qu’il vient du grec “arithmos” (nombre). Peu importe. Le perfectionnement de ces techniques mathématiques allait de pair avec une exigence accrue de précision qui fut (très) probablement à l’origine de la remise en question très progressive des angles zodiacaux ptoléméens et mit sur la voie des vrais Aspects planétaires, si possible calculés à la seconde d’arc près.

La rareté des sources documentées rend difficile le suivi de cette très lente évolution. On peut cependant conjecturer que le mot “Aspect” aurait lui-même pour la première fois été utilisé par des savants musulmans. On le trouve par exemple dans la traduction latine du livre Introduction à l’art du jugement des astres du mathématicien et astrologue du Xe siècle Abd al-Aziz (Alcabitius) daté d’environ 967. L’intitulé d’un de ses chapitres est en effet De aspectibus planetarum (“Des Aspects planétaires”). Mais l’utilisation de ce vocable n’est peut-être qu’un effet de sa traduction vers 1130–1140 puis de la publication de sa version imprimée en 1473.

En tout cas, les occurrences de ce mot deviendront de plus en plus nombreuses à partir du XIIe siècle, qui vit l’apparition des premières traductions des textes astrologiques de l’arabe vers le latin en même temps que la fin de “l’âge d’or islamique” qui avait été si tolérant pour l’astrologie. C’est par exemple le cas chez l’astronome et astrologue Raymond de Marseille (vers 1141) qui évoque dans un de ses écrits “deux planètes [qui] sont à 10° Bélier, en Aspect carré (90°), défavorable, avec l’Ascendant”, ou encore dans un Aide-mémoire astrologique sur les aspects du XVe siècle daté de 1337 (bibliothèque du Vatican) où il est question de “Aspectus trinus, […] Aspectus quartus, […] Aspectus sextilis”.

Rappelons ici que pour qualifier ce qu’est un Aspect, Ptolémée n’utilisait que les mots “angle” et “rapport” ou encore le mot grec “skhèma” (forme, figure, configuration) dans son œuvre. Elle a ensuite été traduite du grec en arabe, puis de l’arabe en latin, et ce n’est par exemple qu’en 2000 qu’a été réalisée la première traduction de la Tetrabible en français à partir de l’original grec. Or comme le souligne la romancière et traductrice Tiphaine Samoyault, “le transport d’une langue une l’autre, d’un espace-temps à un autre, change la forme par l’interprétation. Comme la traduction est une lecture avant d’être une écriture, elle ménage un espace à l’interprétation” (Traduction et violence, Seuil 2020). C’est là un exposé analytique et nuancé (son auteure très politisée est très loin de l’être toujours) de ce que l’expression italienne Traduttore, traditore (“Traducteur, traître”) évoque sur un mode plus concis et abusif tant il est vrai que toutes les traductions ne sont pas des trahisons.

Il n’est donc pas impossible que le mot “Aspect” soit la création d’un savant moine copiste et traducteur de Tolède du XIIe siècle, cette ville espagnole qui vécut pendant plus de 3 siècles sous le joug musulman étant alors un centre de traduction réputé

L’apparition progressive des orbes

Dans son traité d’astrologie Le début de la sagesse, rédigé au milieu du XIIe siècle, l’astronome-astrologue, mathématicien, rabbin et philosophe andalou Abraham ibn Ezra (1092–1167) semble se situer, dans sa conception des Aspects, à mi-distance des angles zodiacaux et des Aspects planétaires. En effet, ce savant y mesure les Aspects selon le nombre de degrés d’arc entre deux planètes, ce qui est un énorme progrès, mais il persiste à ne pas en tenir compte s’ils ne se trouvent pas en même temps en angles zodiacaux. Il considère ainsi, par exemple, qu’un carré (Aspect dissonant de 90°) entre Vénus à 1° Balance et Saturne à 3° Capricorne est effectif parce que ces Signes sont en rapport dissonant, mais il ne compte pas le même Aspect entre Vénus à 1° Balance et Saturne à 29° Sagittaire parce que ces Signes sont en rapport consonant, alors qu’il n’y a que 2° d’orbe qu’entre ces deux versions zodiacales du même Aspect planétaire. Mais Abraham ibn Ezra, s’il a gagné en précision sur la définition des Aspects en les longitudes écliptiques, ne fait pas mention d’orbes, pour lui les effets des angles zodiacaux restent prépondérants.

Abraham ibn Ezra se préoccupe aussi des latitudes écliptiques, dans la même veine que Ptolémée, lorsqu’il écrit à propos des Directions mortifères que “Si l’anérète n’a pas de latitude, il tranchera la vie quand il arrivera sur le Soleil, sur le degré qui se lève […] et aussi sur la Lune si elle n’a pas de latitude, ou si elle a la même latitude que celle de Saturne ou de Mars, et s’ils se trouvent du même côté de l’écliptique. S’ils sont de part et d’autre de l’écliptique, ils indiquent la maladie et non pas la mort, et l’intensité de la maladie dépendra de laplus ou moins grande différence de latitude entre les deux : plus petite est la distance, plus intense sera la maladie. Sache que si Saturne ou Mars ont une latitude, qu’elle soit élevée ou faible, qu’elle soit au Nord ou au Sud [de l’écliptique], ils ne trancheront jamais la vie.” On remarquera à ce sujet que, comme Ptolémée qui est l’une de ses références majeures, Ezra ne se préoccupe des latitudes que lorsqu’il fait état de techniques prévisionnelles.

Au XIIIe siècle, l’astronome-astrologue italien Guido Bonati (1210–1296) développe dans ses traités d’astrologie la même conception des Aspects qu’Abraham ibn Ezra, mais il se distingue de lui par sa claire référence à des orbes. Comme lui il n’admet donc par exemple une conjonction entre deux planètes que si elles sont dans le même Signe. Mais il est le premier à évoquer la notion de “planète combuste”, qui désigne selon lui toute planète se situant dans un orbe de 15° avant et 15° après le Soleil, dont la chaleur la brûlerait jusqu’à en annihiler l’influence ou à rendre celle-ci très maléfique - ce qui signifie qu’une conjonction peut aussi être “maléfique”, contrairement à ce que pensait Ptolémée. Cette notion de “combustion” était bien entendu une ânerie, mais il faut remarquer que l’orbe total admis pour cet effet de carbonisation solaire imaginaire est quand même de 30° ! Autre exemple moins ignifiant d’orbe admis : Bonati estime que la Lune est affligée quand elle se situe dans un orbe de moins de 12° de ses nœuds Nord ou Sud. Bonati n’a probablement pas été le précurseur des orbes, mais il fut le premier astrologue notable à en faire systématiquement état dans ses écrits passés à la postérité.

On retrouve cette notion d’orbe chez Henricus de Geislingen, un obscur astrologue allemand du XVe siècle dont on ne sait à peu près rien, sinon que dans un manuscrit concernant des prédictions pour la date du 26/06/1405, il mentionnait l’existence d’une conjonction de Jupiter à 23° Poissons à Mars à 2° Bélier. Cette mention signifie d’une part qu’il admettait un orbe d’environ 11° pour cet Aspect, et d’autre part qu’il le considérait comme efficient alors qu’il se situait entre deux Signes adjacents. Il semblait donc s’être libéré de la tyrannie de la doctrine ptoléméenne des angles zodiacaux, selon laquelle une conjonction n’était admise que si elle se produisait dans le même Signe. Henricus de Geislingen n’était probablement pas le seul à avoir eu cette audace, mais aucune source ne permet de l’affirmer.

L’invention de l’imprimerie typographique au XVe siècle voit l’apparition et la diffusion des premières tables astronomiques, ce qui rend plus facile le premier traçage historique de la notion d’Aspect. Les documents de cette époque montrent que leur calcul suscitait des débats entre ceux qui prônaient le calcul de l’écart arithmétique entre deux planètes, donc des Aspects planétaires proprement dits, et ceux, majoritaires, qui préféraient la méthode géométrique de Ptolémée, donc les angles zodiacaux. C’est en tout cas ce qui ressort de tous les premiers almanachs de prédictions annuelles de cette époque.

Les rares partisans du calcul des écarts arithmétiques, eux, se divisaient entre ceux qui optaient pour leur calcul sur la sphère des fixes (étoiles), donc probablement en tenant compte des latitudes écliptiques des planètes, et ceux qui préféraient s’en tenir aux seules longitudes, qui étaient les plus nombreux. On ne retrouve les traces d’aucun débat sur l’étendue des orbes admis, mais ils devaient probablement exister chez les spécialistes et les chercheurs, si l’on se réfère au cas de Henricus de Geislingen.

L’image ci-dessous représente deux pages d’une éphéméride de Régiomontanus (1436–1476), astrologue, astronome et mathématicien allemand qui est entre autre l’auteur officiel d’une méthode de domification qui porte son nom mais a été inventée par Ibn Ezra. La page de gauche liste les positions des 7 planètes connues à l’époque ainsi que celle du nœud Nord de la Lune. Celle de droite renseigne sur les Aspects exacts (selon les calculs de l’époque, qui ne l’étaient pas toujours) correspondant à ces positions à l’exception des Aspects lunaires.

On voit donc que les astrologues mirent très longtemps à remettre en question les angles zodiacaux ptoléméens et à prendre en compte des orbes, dont la définition des étendues admissibles et arithmétiquement calculés allait les occuper pendant quelques siècles

Cependant la partie était encore loin d’être gagnée pour les vrais Aspects planétaires et leurs orbes. En effet l’attribution des 4 Éléments (Feu, Terre, Air, Eau) au zodiaque, puis plus tard aux Planètes, s’est produite vers la fin du Moyen Âge, voire au XVe siècle avec la redécouverte des savoirs antiques gréco-romains suscitée par la Renaissance. Alors qu’ils étaient jusqu’à présent absents du corpus de savoir astrologique, étant donné que Ptolémée ne faisait aucune référence à eux, cette irruption tardive des 4 Éléments a remis une pièce dans le juke-box des angles zodiacaux, les antiques distinctions de genres entre Signes se muant en distinctions entre Éléments. C’était en quelque sorte toujours la même musique de la même vieille chanson, mais avec de nouvelles paroles de Feu, de Terre, d’Air et d’Eau. Johannes Kepler tenta, en vain, d’y mettre fin au XVIIe siècle en lui substituant la musique de ses sphères

Cet article vous a été proposé par Richard Pellard

Voir aussi :

▶ Théorie et pratique des aspects
▶ Les aspects, phases d’un cycle
▶ Aspects : existe-t-il un modèle traditionnel ?
▶ Aspects : théorie et bilan conditionaliste
▶ Introduction à l’interprétation des aspects
▶ Les Aspects planétaires et leurs orbes
▶ Les Aspects kepleriens
▶ Les “aspects” aux Angles
▶ Chronologie des Aspects et Transits
▶ Les Aspects planétaires


Les significations planétaires

par Richard Pellard

620 pages. Illustrations en couleur.

La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.

La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.

La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.

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Pluton planète naine : une erreur géante

par Richard Pellard

117 pages. Illustrations en couleur.

Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.

Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?

Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !

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