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Cycles planétaires, rétrogradations, zodiaque & constellations

Ces dix vidéos représentent les cycles géocentriques du Soleil, de la Lune et des planètes (pour ces dernières, en mouvement direct ou rétrograde) dans les Signes du zodiaque tropique avec, en toile de fond, les constellations zodiacales ou péri-zodiacales.

Ces dix vidéos représentent les cycles géocentriques du Soleil, de la Lune et des planètes. L’écliptique est le plan de l’orbite apparente du Soleil autour de la Terre. Les trajectoires de la Lune et des planètes s’effectuent sur des orbites plus ou moins inclinées sur le plan écliptique. Dans ce référentiel écliptique, une planète se caractérise ainsi par deux coordonnées : sa longitude écliptique (projection de sa position sur le plan écliptique) calculée de 0° à 360° à partir du 0° Bélier et sa latitude écliptique (sa hauteur nord ou sud par rapport au même plan). Par définition, le Soleil n’a pas de latitude écliptique.

Inclinaison orbitale et latitude écliptique

L’inclinaison du plan orbital d’une planète ne doit pas être confondue avec sa latitude écliptique. L’inclinaison de son plan orbital sur celui de l’écliptique lui est propre, alors que sa latitude écliptique dépend à la fois de sa position sur son orbite et de sa distance à la Terre.

Les graphiques ci-dessous représentent les inclinaisons orbitales et les latitudes écliptiques maximales pour les planètes Vénus & Mars :

Le tableau ci-dessous récapitule les principales informations au sujet des latitudes écliptiques. Les latitudes écliptiques maximales mentionnées ont été calculées à partir de la période 1500–2000.

Les rétrogradations planétaires

Les planètes se déplacent dans le sens anti-horaire ou senestrogyre (sens inverse des aiguilles d’une montre). Cependant elles sont périodiquement l’objet d’un mouvement rétrograde : elles semblent alors s’arrêter (première station) dans leur course puis se déplacer dans le sens horaire ou dextrogyre (sens des aiguilles d’une montre) avant de s’arrêter à nouveau (deuxième station) et enfin de reprendre leur course dans le sens anti-horaire. Le cycle des rétrogradations est indexé sur celui des révolutions synodiques des planètes. Le Soleil et la Lune ne peuvent pas avoir de mouvement rétrograde.

Le graphique ci-dessous illustre le mouvement de rétrogradation d’une planète extérieure : mouvements héliocentriques à gauche, boucle de rétrogradation géocentrique à droite :

Le tableau ci-dessous donne les informations au sujet des périodes synodiques moyennes et des durées de rétrogradations moyennes correspondantes :

On distingue les planètes intérieures (entre l’orbite de la Terre et le Soleil) et extérieures (à partir de Mars). Pour une planète intérieure (Mercure & Vénus), le mouvement apparent est direct, antérograde en conjonction supérieure (d’un point de vue géocentrique elle est alors derrière le Soleil), et rétrograde en conjonction inférieure (elle est alors devant le Soleil). Mercure est en conjonction inférieure tous les 116 jours terrestres en moyenne (période synodique), mais cet intervalle peut aller de 105 jours à 129 jours, en raison de l’orbite très excentrique de la planète.

Planète intérieure : exemple : rétrogradation de Mercure. En moyenne, lorsque le Soleil est autour de 18° devant Mercure (suivant le sens des Signes), Mercure en conjonction inférieure entre en période de rétrogradation. Il en sort, après la conjonction au Soleil au cœur de la rétrogradation, lorsque celui-ci se situe en moyenne autour de 18° après Mercure.

Planète extérieure : exemple : rétrogradation de Mars. Pour une planète extérieure, le mouvement apparent est direct en conjonction au Soleil et rétrograde en opposition au Soleil. En moyenne, lorsque le Soleil est autour de 136° avant Mars (suivant le sens des Signes), Mars entre en période de rétrogradation. Il en sort, après l’opposition au Soleil au cœur de la rétrogradation, lorsque celui-ci se situe autour de 136° après Mars.

Ce mouvement apparent (et non illusoire) d’une planète résulte de la composition de son mouvement réel et de celui de la Terre. Il vous est expliqué dans cet article sur les rétrogradations. Vous pouvez le visualiser sur cette animation à partir de 4’08”.

Enfin, notons que les latitudes écliptiques maximales d’une planète peuvent être atteintes juste avant ou juste après ses rétrogradations.

Signes et constellations

Ces mouvements antérogrades et rétrogrades se produisent au premier plan d’une toile de fond : le décor cosmique des constellations zodiacales et de celles qui leur sont contiguës (constellations péri-zodiacales). Pour l’U.A.I. (Union Astronomique Internationale), les unes comme les autres sont regroupées à l’intérieur de polygones irréguliers de dimensions variables. Ce décor stellaire change selon une périodicité d’environ 26000 ans du fait de la précession des équinoxes. Ce changement périodique n’a aucun effet direct sur les rétrogradations planétaires.

En raison du phénomène de précession, aucune de ces constellations ne reste à la même position par rapport aux Signes du zodiaque astronomique. En outre, chacune de ces constellations s’inscrit officiellement dans un polygone de délimitation irrégulier ayant une forme différente (ces polygones peuvent se chevaucher) et occupe donc une largeur (L) différente en longitude écliptique. Vous trouverez des explications complètes au sujet de ces polygones stellaires dans cet article. Voir aussi les animations vidéo dans Zodiaque des Signes & constellations : vidéos.

Les dix cycles géocentriques en vidéos

Les animations suivantes représentent les cycles géocentriques de la Lune, du Soleil et des planètes jusqu’à Pluton inclus. Pour les astres aux révolutions les plus rapides (de la Lune à Mars inclus) les périodes concernées vont de 2023 à 2025. Pour les planètes lentes, les périodes retenues sont 2023–2035 (Jupiter), 1996–2036 (Saturne), 2010–2095 (Uranus), 1861–2025 (Neptune) et 1821–2068 (Pluton).

Légende des vidéos :

▶ plan de l’écliptique : axe horizontal rouge
▶ longitudes écliptiques : graduations horizontales
▶ latitudes écliptiques : graduations verticales
▶ latitudes écliptiques minimale et maximale : lignes horizontales en pointillés
▶ début du mouvement rétrograde : triangle violet
▶ fin du mouvement rétrograde : triangle orange
▶ délimitations officielles des constellations : contours bleus
▶ constellation traversée par une planète : contour vert

Lune

La Lune ne connaissant pas de rétrogradations, elle se contente de parcourir sa sinusoïde inclinée d’environ 5° sur le plan de l’écliptique.

Une seconde de vidéo correspond à un jour en temps réel : la vidéo montre donc un temps accéléré par un facteur d’environ 90 000.

Soleil

Le Soleil ne se déplace que sur le plan de l’écliptique, ce qui est normal puisque celui-ci est celui de son orbite apparente autour de la Terre.

Une seconde de vidéo correspond à six jours en temps réel : la vidéo montre donc un temps accéléré par un facteur d’environ 500 000.

Mercure

On observe 6 rétrogradations de Mercure au cours de la période concernée :

Rétrogradation du 21/04/2023 au 15/05/2023 :
▶ Début : latitude écliptique = +2° 50′ N
▶ Fin : latitude écliptique = −2° 38′ S

Rétrogradation du 23/08/2023 au 15/09/2023 :
▶ Début : latitude écliptique = −4° 02′ S
▶ Fin : latitude écliptique = −0° 59′ S

Mercure traverse brièvement la constellation péri-zodiacale du Sextant pendant sa rétrogradation.

Rétrogradation du 13/12/2023 au 02/01/2024 :
▶ Début : latitude écliptique = +1° 49′ N
▶ Fin : latitude écliptique = +3° 00′ N

Rétrogradation du 05/04/2024 au 25/04/2024 :
▶ Début : latitude écliptique = +3° 11′ N
▶ Fin : latitude écliptique = −1° 18′ S

Rétrogradation du 05/08/2024 au 28/08/2024 :
▶ Début : latitude écliptique = −3° 47′ S
▶ Fin : latitude écliptique = −2° 05′ S

Rétrogradation du 27/11/2024 au 17/12/2024 :
▶ Début : latitude écliptique = −1° 09′ S
▶ Fin : latitude écliptique = +2° 52′ N

Une seconde de vidéo correspond à six jours en temps réel : la vidéo montre donc un temps accéléré par un facteur d’environ 500 000.

Important : les latitudes écliptiques maximum peuvent se produire avant ou après les périodes de rétrogradation. Cela est valable pour toutes les planètes.

Vénus

Vénus ne fait qu’une seule rétrogradation au cours de la période concernée :

Rétrogradation du 23/07/2023 au 04/09/2023 :
▶ Début : latitude écliptique = −3° 28′ S
▶ Fin : latitude écliptique = −6° 53′ S

Une seconde de vidéo correspond à six jours en temps réel : la vidéo montre donc un temps accéléré par un facteur d’environ 500 000.

Mars

Mars ne fait qu’une seule rétrogradation au cours de la période concernée :

Rétrogradation du 06/12/2024 au 24/02/2025 :
▶ Début : latitude écliptique = +2° 49′ N
▶ Fin : latitude écliptique = +3° 42′ N

Une seconde de vidéo correspond à douze jours en temps réel : la vidéo montre donc un temps accéléré par un facteur d’environ 1 million.

Jupiter

Dans le cas des planètes lentes à partir de Jupiter, les rétrogradations sont de plus en plus fréquentes : inutile de toutes les lister.

Une seconde de vidéo correspond à un mois en temps réel : la vidéo montre donc un temps accéléré par un facteur d’environ 3 millions.

Saturne

Une seconde de vidéo correspond à deux mois en temps réel : la vidéo montre donc un temps accéléré par un facteur d’environ 5 millions.

Uranus

Une seconde de vidéo correspond à six mois en temps réel : la vidéo montre donc un temps accéléré par un facteur d’environ 16 millions.

Neptune

Une seconde de vidéo correspond à une année en temps réel : la vidéo montre donc un temps accéléré par un facteur d’environ 30 millions.

Pluton

On visualise ici la forte inclinaison de l’orbite de Pluton sur l’écliptique, qui correspond à de très importantes latitudes écliptiques et le font à plusieurs reprises traverser des constellations péri-zodiacales :

Pluton en longitude écliptique Bélier :
▶ Du fait de sa très forte latitude écliptique, c’est dans la constellation péri-zodiacale de la Baleine qu’il se déplace ;

Pluton en longitude écliptique Taureau :
▶ Du fait de sa très forte latitude écliptique, c’est dans la constellation péri-zodiacale de la Baleine qu’il se déplace, puis dans celle du Taureau ;

Pluton en longitude écliptique Gémeaux :
▶ Du fait de sa forte latitude écliptique, c’est dans la constellation du Taureau qu’il se déplace, puis dans celle d’Orion, péri-zodiacale ;

Pluton en longitude écliptique Cancer :
▶ C’est dans la constellation péri-zodiacale d’Orion qu’il se déplace, puis dans celle des Gémeaux, et enfin brièvement celle du Cancer ;

Pluton en longitude écliptique Lion :
▶ C’est dans la constellation du Cancer qu’il se déplace pendant cette période, puis environ à mi-chemin dans celle du Lion ;

Pluton en longitude écliptique Vierge :
▶ C’est dans la constellation du Lion qu’il se déplace pendant presque toute cette période, puis dans celle de la Vierge après être brièvement passé par celle, péri-zodiacale, de la Chevelure de Bérénice en raison de sa forte latitude écliptique ;

Pluton en longitude écliptique Balance :
▶ C’est dans la constellation péri-zodiacale de la Chevelure de Bérénice qu’il se déplace au début de cette période en raison de sa forte latitude écliptique, puis dans celle de la Vierge après un bref passage dans celle, péri-zodiacale, du Bouvier toujours pour la même raison ;

Pluton en longitude écliptique Scorpion :
▶ C’est dans la constellation de la Vierge qu’il se déplace au début de cette période en raison de sa forte latitude écliptique, puis dans celle de la Balance après un bref passage dans celle, péri-zodiacale, de la Tête du Serpent toujours pour la même raison ;

Pluton en longitude écliptique Sagittaire :
▶ C’est dans la constellation du Serpentaire qu’il se déplace au début de cette période en raison de sa forte latitude écliptique, puis dans celle, péri-zodiacale, de la Queue du Serpent après quoi il parcourt rapidement une portion de celle du Sagittaire ;

Pluton en longitude écliptique Capricorne :
▶ C’est dans la constellation du Sagittaire qu’il se déplace presque exclusivement, sauf à la fin une brève incursion dans celle du Capricorne ;

Pluton en longitude écliptique Verseau :
▶ C’est dans la constellation du Capricorne qu’il se déplace presque exclusivement, après quoi il finit ce parcours dans celle du Verseau ;

Pluton en longitude écliptique Poissons :
▶ C’est dans la constellation du Verseau qu’il se déplace presque exclusivement, après quoi il finit ce parcours dans celle, péri-zodiacale, de la Baleine.

Une seconde de vidéo correspond à une année en temps réel : la vidéo montre donc un temps accéléré par un facteur d’environ 30 millions.

Hypothèses sur les effets des rétrogradations

Une rétrogradation produit au moins deux effets caractéristiques :
▶ 1) La station prolongée de la planète rétrograde dans une portion du zodiaque ;
▶ 2) L’inversion du rythme photopériodique de la planète rétrograde.

La station prolongée de la planète rétrograde dans une portion du zodiaque

Le premier effet nous renvoie immédiatement à l’une des caractéristiques du conditionnement : plus un signal dure longtemps, plus sa perception par le système nerveux s’intensifie et plus celui-ci est susceptible de réagir. Cet effet est particulièrement perceptible lors des périodes de transits planétaires. Les transits des planètes rapides non-rétrogrades durent peu de temps. En admettant (arbitrairement) un orbe de 10° avant et après l’aspect de conjonction ou d’opposition exact en transit, un transit de la Lune (qui ne peut être rétrograde) ne dure qu’une journée et un transit de Mercure une dizaine de jours. Par contre, un Mercure rétrograde peut transiter pendant environ un mois sur une planète natale…

Dans le thème natal, on peut se demander si l’un des effets d’une rétrogradation planétaire (surtout s’il s’agit d’une planète rapide et dominante) ne serait pas d’accentuer l’importance du Signe où elle se trouve. En effet, elle reste plus longtemps dans ce Signe pendant la période post-natale.

L’inversion du rythme photopériodique de la planète rétrograde

Le deuxième effet demande d’essayer de traiter rationnellement l’interaction entre les effets du Signe “normal” et ceux du Signe “anormal” (en photopériode) induit par la rétrogradation.

Le tableau ci-dessous récapitule les informations concernant les effets zodiacaux des rétrogradations. La colonne “Phase D-N” renseigne sur le rapport des durées diurne (cercle blanc) et nocturne (cercle noir). Il se lit comme suit : une planète rétrograde en Bélier a des effets similaires à ceux d’une planète en Vierge pendant la durée de sa rétrogradation. En effet, en Bélier l’arc diurne sensiblement dominant en durée est croissant, alors que du fait de la rétrogradation il est décroissant, comme en Vierge.

Exemple : Mercure en Sagittaire. Pour une latitude terrestre moyenne ou supérieure dans l’hémisphère Nord, il se caractérise par un arc nocturne croissant très supérieur en durée par rapport à l’arc diurne. Mais pendant sa période de rétrogradation dans ce Signe, le même arc nocturne dominant en durée est décroissant : il a donc alors les caractéristiques d’un Mercure en Capricorne.

Faut-il dans ce cas de figure interpréter un Mercure-Capricorne plutôt qu’un Mercure-Sagittaire ? Ce n’est pas si simple. Comme le précise Jean-Pierre Nicola, “changer de Signe parce que la déclinaison passe de la croissance à la décroissance ou l’inverse du fait de la rétrogradation, c’est éradiquer la composante ascension droite de la position de l’astre (d’où une absurdité) et isoler la rétrogradation, l’extraire comme un phénomène à part de la révolution synodique. Un véhicule qui, sur une côte, effectue une marche arrière, n’est pas un véhicule qui monte, ni un véhicule qui fait un bond dans le temps pour retourner au passé. La rétrogradation fait partie d’un cycle. Il suffit de se donner la peine de tracer un graphe de variation de déclinaison (autre que Soleil, Lune) pour comprendre et visualiser la rétrogradation par une ‘anomalie’ sur la courbe moyenne.

L’une des hypothèses les plus séduisantes est proposée par Jean-Pierre Nicola : “il se peut que la rétrogradation accentue ‘l’effet de phase’ puisqu’elle reste commune aux Signes concernés… Pas sûr que ce soit un effet exclusivement négatif.” Ces hypothèses sont explorées dans l’article Rétrogradations et déclinaisons. Dans cette hypothèse, les effets capricorniens de la rétrogradation de Mercure-Sagittaire accentueraient le Sens des Ensembles et la phase ultraparadoxale propres aux Signes solsticiaux.

L’observation semble montrer que le principal effet d’une rétrogradation est une oscillation, une alternance entre les caractéristiques du Signe “normal” (le Sagittaire) et celles du Signe “anormal” (le Capricorne), ces fluctuations pouvant être adaptées ou inadaptées, “positives” ou “négatives”. En tout cas, on n’observe rien des effets systématiquement négatifs attribués aux planètes rétrogrades par l’astrologie traditionnelle, tels que la moindre efficacité, l’inertie ou la paralysie, sans parler des délires qu’elles inspirent à l’astrologie karmique.

Simulations créées par Julien Rouger avec le logiciel libre Stellarium. Textes de Richard Pellard.

Cet article vous a été proposé par Julien Rouger, Richard Pellard

Voir aussi :

▶ Le zodiaque et la précession des équinoxes
▶ Votre Signe du zodiaque
▶ Signes et saisons
▶ Trios planétaires en Signes
▶ Le monde selon Claude Ptolémée, astronome-astrologue et phare d’Alexandrie
▶ La réalité astronomique du zodiaque
▶ Le zodiaque réflexologique humain
▶ Autour du zodiaque : de l’eau dans un Signe de Feu ?
▶ Zodiaque et sphère locale
▶ Mythologie du zodiaque
▶ Zodiaque et formes de l’inhibition
▶ Change-t-on de caractère en changeant de Signe solaire ?
▶ Énergie-Espace-Temps-Structure et zodiaque
▶ Genèse du zodiaque conditionaliste
▶ L’horloge photopériodique du genou
▶ Signe solaire et Signe Ascendant
▶ Astrologie, adaptation & inadaptation
▶ Les rythmes du zodiaque
▶ Cosmographie simplifiée du système solaire
▶ Thème de domitude et hiérarchisation planétaire
▶ Effets et contre-effets des images et représentations sur les faits et les idées
▶ Le taijitu dans le système solaire
▶ Zodiaque, planètes et typologie jungienne


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  • Le zodiaque des constellations : zodiaques suméro-chaldéens, origines du zodiaque, constellations et Signes, bestiaire de l’abbé Pluche, précession des équinoxes
  • Le zodiaque traditionnel : interprétation de la symbolique des 12 Signes
  • Du zodiaque traditionnel au naturel : ressemblances & dissemblances
  • Le zodiaque naturel : écliptique et bande zodiacale, zodiaque des déclinaisons & photopériodique
  • Interprétation des 12 Signes et de leurs réflexes : force, vitesse, équilibre
  • Interprétation des 12 Signes en fonction des planètes dominantes
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