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Le S.O.R.I. : le Sujet

Comme les autres référentiels, celui du Sujet se définit plus facilement par ses oppositions que par sa nature. On ne peut définir un Sujet qu’en dehors du sujet, ce qui est anti-Sujet et ne convaincra pas les tenants du rien n’existe sans mon Moi conscient. Les convaincre de vanité nécessite des forces surhumaines, je ne sais de quelle nature, probablement parce que la destruction d’un seul référentiel exige la capacité de les détruire tous. Ce qui est déjà un argument indirect de coexistences rivales.

Le Sujet : “Sans moi, vous n’êtes rien”

Dans la lutte que se livrent les référentiels, celle du Sujet est impitoyable. Elle se résume à : sans moi, vous n’êtes rien. Je disparais et vous disparaissez… vous, les objets de ma conscience… vous, les qui-que-vous-soyez de mon monde de relations privées (épouse-époux, mère-père, enfants, cousins, amis, amies, amants, maîtresses) et vous, gendarmes et voleurs, de mon monde de relations sociales. Je disparais c’est regrettable — et disparaissent mes dieux et mes démons. Ce raisonnement tenu par plus d’un sujet conscient de sa personne, n’a qu’un défaut… mais il est de taille : il définit la subjectivité et non pas le Sujet… le mal, plutôt que la santé. En outre, ce pouvoir de néantisation n’est pas réservé au référentiel Sujet, mais à tous. Que l’on supprime l’Objet, la Relation ou l’intégration, le résultat est le même : l’ensemble s’annule. Si les cosmogonies anciennes sont de fortes consommatrices de structures quaternaires, ce n’est pas, comme le divulguent les rationalistes, parce que les cosmologues de ce temps-là étaient des primitifs incultes superstitieux ou des prêtres-escrocs (en somme, leurs ancêtres), mais parce que la logique du fonctionnement cortical existait déjà.

Comme les autres référentiels, celui du Sujet se définit plus facilement par ses oppositions que par sa nature. On ne peut définir un Sujet qu’en dehors du sujet, ce qui est anti-Sujet et ne convaincra pas les tenants du rien n’existe sans mon Moi conscient. Les convaincre de vanité nécessite des forces surhumaines, je ne sais de quelle nature, probablement parce que la destruction d’un seul référentiel exige la capacité de les détruire tous. Ce qui est déjà un argument indirect de coexistences rivales.

Si l’on essaie le bon sens, il y a la gifle qui vient de quelqu’un d’autre, la tuile qui tombe d’un toit qui n’est pas à soi. On vous répondra que la gifle vous l’avez bien cherchée, et qu’on ne passe pas par hasard dans une rue ou les tuiles tombent par hasard. Il y a l’inconscient. Est-il bien Sujet ? Pour Freud, oui, ou presque. Moins pour Jung, puisqu’il est collectif. Leur différence valait bien une rupture venimeuse, objectivement justifiée.

Essayons l’auto-contradiction. l’expression que l’on peut entendre quelquefois : “en cette affaire, je suis (ou j’ai été subjectif)” est paradoxale pour celui qui ne jure que par le Sujet (le sien-sien, généralement). Elle reconnaît une division interne, une présence objectivante dans le quant-à-soi. Les dieux, chrétiens ou païens, n’avouent jamais leur subjectivité. Ils sont. Observons que l’expression symétrique : “en cette affaire, je suis ou j’ai été objectif” est tout autant ambivalente et conduit à la conclusion analogue d’un paradoxe dans l’objectivité. Pour être le meilleur en référentiel Sujet ou Objet, il vaut mieux ne pas dire Je mais c’est (cela est) subjectif ou objectif. Le “cela” n’est plus Sujet ou Objet, mais Relation ou Intégration. Et, en cela, on appelle en alliance une complicité non déclarée. Un autre aspect de subjectivité paradoxale est celle de l’égocentrique qui prend son inflation pour référentiel universel. Il grossit son sujet relationnel et montre, de ce fait, une alliance plus déterminante que sa fausse identité.

Au colloque Astrologie et Spiritualité, Maurice Maupilier m’expliquait que la Fin des Temps, le temps du Jugement dernier, ne surviendra que lorsque tous les hommes seront prêts à s’unir à Dieu dans le même amour et la même vision du monde. J’ai compris que la Terre n’avait pas fini de tourner et que l’Intégration était décidément allergique au Sujet… un antagonisme en faveur de leurs identités respectives. Mais les extrêmes s’attirent et notre époque cultive tout autant l’individualisme chatouilleux que le spiritualisme dépersonnalisant. La façon occidentale d’être hindouiste avec la croyance aux réincarnations est un compromis illusoire. Les esprits avertis savent que, d’une existence à l’autre, le Sujet actuel se perd tel qu’il s’imagine. Le Moi n’est pas la Personne… qui n’est pas l’Ego. Mais peut-être, les trois réunis, comme se réunissent par triangle les Maisons I, V, IX, forment le Sujet, si l’on s’entend sur le nombre et la qualité des enveloppes de cet oignon fait homme.

Référentiels Sujet et Objet, plus qualitatifs que quantitatifs

On est tenté de voir dans le Sujet une Intégration partielle. Un microcosme à l’image du macrocosme rendrait compte de l’universalisme du Sujet et de ses hautes destinées mais cela n’aplanirait pas les différences, ici-bas, d’un Sujet à l’autre, alors qu’ici-haut, le macrocosme parait le même pour tous. Une affinité se dessine cependant entre Sujet et Intégration : les deux référentiels paraissent plus qualitatifs que quantitatifs. Un mathématicien dirait qu’ils sont non-linéaires, imprédictibles, à l’inverse de l’Objet et même la Relation qui permettent des mesures quantifiées ou comparatives. Dans le système des Maisons, les Maisons I “Représentation du Sujet” et IV “Représentation de l’intégration” sont sous le plan de l’horizon, les Maison X “Représentation de l’Objet” et VII “Représentation de la Relation” sont au-dessus.

Chercher la clef du Sujet par l’Objet… c’est-à-dire par la biométrie, la physiologie, la physico-chimie, voire l’horoscope et toutes les co-disciplines dites de “connaissance de soi” ne peut donner qu’un résultat approché, parfois très loin du Sujet… un produit ressemblant qui tend vers l’authentique sans jamais l’atteindre, en raison de l’incompatibilité des référentiels, et parce qu’on ne mesure pas avec précision de la qualité avec de la quantité.

Ce problème de relation entre le Sujet et les référentiels contraires ou alliés, rappelle celui de l’œuvre à son auteur. Paul Valéry résume par une absence radicale de cause à effet : “Accumulez tous les détails que vous pourrez sur la vie de Racine, vous n’en tirerez pas l’art de faire ses vers.” Va pour les vers ou la prose… Qu’en est-il de l’intrigue ? Peut-on, à coup sûr, y retrouver son signataire ? Pas à coup sûr, car les règles de relations varient. S’il y a ceux qui se décrivent en se prolongeant dans leurs œuvres, violentes lorsqu’ils sont violents, désespérantes lorsqu’ils sont désespérés, il y a ceux qui produisent le contre-pied de leur caractère ostensible, ce qui donne aux biographes l’occasion de patauger dans de profondes interrogations ou de recourir aux astuces psychanalytiques. Louis Pasteur était persuadé qu’un savant qui trompait son épouse devait être aussi peu crédible dans son métier que dans sa vie conjugale. La science “grand R” s’est rapidement débarrassée des anecdotes, vices cachés, traits de caractère, “petit e”, qui encombraient inutilement l’image idéale de sa pyramide et sa solidité, “grand E”. Les mesures et leurs rapports s’emboîtent mieux que les passions humaines. Cependant, on commence à entrevoir une relation qualitative qui privilégie l’attitude spirituelle consciente plutôt que les pulsions affectives. Ce qui revient à comparer l’esprit du squelette à la chair de l’esprit. Ainsi, Corby Hovis et Helge Kragh, rattachent la découverte de l’antimatière au sens esthétique de son auteur, Paul Dirac :

Il préférait les belles théories aux constructions inélégantes étayées par les résultats expérimentaux, parce que, disait-il, les faits changent. Cette attitude lui a permis de prévoir l’existence de l’antimatière.

Toujours après coup, l’astropsychologie glane dans les buissonnements symboliques d’un thème tantôt les raisons astrales du Sujet, tantôt celles de son œuvre. Par les méthodes comparatives, il serait intéressant de savoir, à quelles découvertes différentes conduisent les complexes d’Œdipe et de castration, selon qu’ils sont bien ou mal résolus. Une fois les déductions exprimées des configurations supposées significatives, il est facile d’effectuer des contrôles. Dans une autre recherche, on compare les savants et littéraires dont le tempérament parait conforme aux œuvres, aux savants et littéraires dont le tempérament parait indifférent ou opposé à leurs créations.

Parce qu’il n’est directement, ni psychologique, ni typologique, le langage conditionaliste (fonctions planétaires, zodiaque des signaux et des phases) permet de passer facilement du Sujet à son œuvre (Objet), d’en parler de la même façon, comme si l’hétérogénéité Sujet/Objet disparaissait. C’est un effet de la vocation communicative du R.E.T., et de sa nature — référentiel relation — plus proche des structures de l’esprit que de l’affectivité. Selon le critère ou le système de lecture, l’unité se divise, la dualité s’unifie. Le conditionaliste n’a pas besoin de “l’affectivité océanique” du Signe des Poissons (je cite) pour comprendre l’homme et l’œuvre de Galilée, amas en ce Signe) marquée par l’inhibition extinctive, alors qu’il faut une certaine gymnastique mentale pour réunir le polémiste (les Poissons sont pacifiques) et le découvreur. Richard Pellard, dans son article sur Niels Bohr a illustré la vertu de non-séparabilité du R.E.T. et des formules zodiacales. Philippe Pinchon le fait régulièrement pour les littéraires. D’une manière générale, comme pour les Poissons, les formules réflexologiques s’appliquent correctement à un plus grand nombre de cas que les typologies astropsychologiques utilisées pour les Signes.

Faute d’un langage adapté, n’ayant pas cette maîtrise de la Relation (sauf pour la pervertir), les pasticheurs retournent à leur égocentrisme et, par tactique instinctive de destruction, ignorance ou naïveté, les astropsychologues séparatistes réduisent au Sujet les référentiels qui les dépassent. Comme dirait Freud, cette attitude est économique. On a moins de fatigue à classer, une fois pour toutes, la rationalité dans les Signes de Terre et les savants sous la coupe de Saturne, plutôt que de s’intéresser à leurs découvertes. Inutile d’apprendre à lire une équation, de refaire des calculs, comprendre une autre logique que celle de l’astropifometrie… les nombres, la raison, tout ca et compagnie, c’est complexe anal de la Vierge et, du Capricorne, la schizophrénie. Je l’ai entendu de Jean Carteret, et sa phrase a réjoui plus d’un imbécile : “L’objectivité, la mathématique, c’est la mort.” Mais alors… puisque la mort donne sens à la vie, pourquoi pas l’objectivité et la mathématique ?

Pour éviter toute discussion sur une œuvre, une idée, un travail objectif, suivant une pratique courante dans le milieu astropsychologique, on discute du caractère de l’auteur assaisonné de ses configurations natales accablantes.

Si le conditionalisme ne passe pas, pas autant que d’aucuns le voudraient, ce n’est pas parce que son étude demande un effort soutenu, mais parce que j’ai mauvais caractère, et que, parano-persecuté, mauvais pédagogue autoritaire, je n’attire pas la clientèle. Si j’étais gentil et diplomate, mes calculs seraient transparents, mes idées limpides. Qui ne les aimerait pas ?

On ne cherche pas dans la psychologie une parade contre les explications

Mes conflits ne mettent en cause que des théories : pas d’histoire d’argent ou de femme. Mes critiques, qui savent à quel point j’estime leur sérénité d’âme et dons d’observation, ne l’auraient-ils donc pas remarqué ? Je peux supporter, j’ai longtemps supporté, plus d’un fichu caractère, largement aussi pénible que le mien, jusqu’au jour où les sangsues repues s’avisent de régurgiter le conditionalisme avec des grilles fantaisistes, des extrapolations hagardes et des définitions de bonimenteur à l’usage de leurs groupies et groupions. Et ce que je dis des pasti-tricheurs vaut pour les jongleurs d’indices, de planètes, de complexes. Lorsqu’on enseigne des convictions que l’on assure révolutionnaires, le minimum d’honnêteté intellectuelle demande un minimum de démonstration ; on ne cherche pas dans la psychologie une parade contre les explications. Dans les livres et les Cahiers, je n’ai jamais été avare des miennes… et si Pluton, à ce propos, est désormais reconnue comme la dernière planète, dans ma démonstration d’il y a une vingtaine d’années, je n’ai jamais eu l’intention de vexer les corps hypothétiques, pas plus Proserpine ou Vulcain que leurs partisans. Peut-être que pour limiter le risque de se tromper, la vie nous demande de regarder quelquefois vers la mort ? Dans cette direction les erreurs de pronostic à long terme sont rares. Proserpine et Vulcain conserveront leurs amis de toujours… qui ne leur feront toujours pas l’hommage d’une démonstration autre que poétique (ce qui a son intérêt, sauf en tant que non-démonstration lorsque cette poétique n’est qu’un vulgaire pathos du sujet émotionnel). Dans tout ceci, ou sont les conflits de personnalités ? Je ne vois que de grandes différences en matière d’exigence intellectuelle.

Apparemment, notre Sujet est toujours en cavale. On le cerne, en négatif, dans le piège de l’anti-Integration. Il devient la singularité vouée aux gémonies, définition pure du diable : un Ego orgueilleux inintégrable, contre qui l’Église a levé ses cohortes d’Anges rassembleurs. En qualité d’étincelle divine, l’Ego élu est promis à l’Intégration finale, à condition de ne pas faire le prétentieux, oublier ou ne pas trop insister sur son particularisme. Le Sujet sera-il donc un particulier avec tout ce qui fait sa différence (demandez des précisions aux féministes). Le Sujet voyageur est dans le wagon non-fumeur ou le wagon-fumeur… Quel wagon ira au paradis des fumeurs ou non-fumeurs ?

La définition du Sujet par la différence s’appuie sur l’anti-Intégration ou l’anti-Relation. En s’alliant à l’Objet pour justifier la différence, n’importe quel trait, n’importe quelle partie du corps, pourvu qu’elle donne prise, fera l’affaire. L’association analogique de l’Énergie au Sujet puise dans les signaux l’Ego-étincelle en évolution vers la Structure ; ce qui ne veut pas dire qu’il est pré-structuré, car du Sujet-Énergie à L’Être-Structure, tout peut arriver.

Notre sujet du jour, le “juge blond qui fume”, n’entrera pas dans l’lntégration si on lui apporte du Coca-Cola ou de la vieille limonade. la chronologie, un quelconque déroulement du temps est-il nécessaire pour changer de référentiel ? À lire les grands mystiques, il semblerait que non. Le chemin des réincarnations est long, alors que, si j’en crois l’enseignement des Maîtres et ma propre opinion sur la Structure, il est possible d’abréger le cycle et sortir du Temps… à tout instant. Par où ?

Des référentiels liés, en rivalité, s’affrontent et s’associent par les fonctions (entre autres) du R.E.T. Le but apparent est de construire un “œuf complet” en priorité, pour des fins universelles différentes de la volonté de domination (laquelle participe néanmoins au jeu vidéo). Dans cette compétition tournante, la science semble avoir réussi à remplir (une façon de le créer) le référentiel Objet en y construisant un œuf triomphant ; mais, désormais remoulu, il ne porte plus les espérances humaines. le relais de la création est passe au Sujet avec tous les psychanalysmes, neurosciences, spiritualismes, ésotérismes, en compétition pour séduire la matrice-mére.

L’image-objet de l’horoscope natal peut être un guide pour informer et s’informer des meilleures tactiques à suivre pour récupérer, changer, négocier ou développer tel ou tel référentiel inévitable à la structuration du Sujet. Comme on ne saurait édifier, dans ce jeu-là, quoi que ce soit sans recourir à une fonction communicative, la construction de la personnalité entraîne, étape par étape, la relation (R.E.T.) avec l’impersonnel (Objet) et le déchiffrement de l’universel (Intégration). Incidemment : on jugera de la valeur de l’astrologie enseignée à l’évolution de l’astrologue vers d’autres domaines de connaissance.

Si l’on va jusqu’au terme d’une réalisation de destinée, ce n’est plus un Sujet qui éclôt. J’exprime ainsi, en langage conditionaliste, la découverte de Soi, thématique de C-G. Jung, que l’on retrouve dans de vieilles maximes : un maillon pourri brisé une chaîne… un noyau solide rétablit la continuité. Thématique de la Rédemption : il suffit d’un homme juste. Nous ne sommes pas, toutefois, dans la redite d’une gnose intuitive. Il y a, grâce à notre langage, des démonstrations logiques qui n’ont jamais été faites, de nouvelles voies ouvertes, des différences d’appréciation et d’interprétation. Notamment, le passage à l’Objet, la réalisation par l’Autre ou les Autres, enchantent rarement les doctrines de transformations par l’auto-Je absolu.

Pour ce qui est du ciel de naissance, à partir d’ici, vous pouvez vous reporter à la fin de mon article “Ésotérisme du conditionalisme” sur la hiérarchisation et la construction du centre… ou comment trouver autre chose que ce que l’on cherche sans se perdre, si l’on vise au centre. Pareille construction mobilise toutes les fonctions R.E.T. Elle aboutit, en cas de réussite, à une structuration du Sujet, et un Sujet structure dépasse autant l’égocentrisme que la subjectivité. Il se porte au mieux de son Sujet sans avoir besoin de personnalité, parce que la structure (du Sujet, de l’Objet ou de la Relation) est le signal, le cygne-signe de l’lntégration. Relisez les alchimistes avec les yeux du R.E.T. -S.O.R.I.

Par rapport à la communication citée, j’ai introduit dans celle-ci le handicap des relations S.O.R.I./R.E.T., c’est-à-dire les problèmes d’interprétation des Planètes en Maisons. En pratique, si vous testez les Maisons en S.O.R.I. (ou les quartes) par les transits ou les occupations natales, n’oubliez pas qu’une fonction dans un référentiel ne se borne pas à le valoriser, elle peut le détruire, l’opposer ou l’allier à un autre.

Article paru dans le n° 24 des Cahiers conditionalistes (3e trimestre 1994).



Cet article vous a été proposé par Jean-Pierre Nicola

Les significations planétaires

par Richard Pellard

620 pages. Illustrations en couleur.

La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.

La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.

La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.

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Pluton planète naine : une erreur géante

par Richard Pellard

117 pages. Illustrations en couleur.

Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.

Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?

Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !

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